Au début des apparitions d’OVNI, nombreux étaient ceux qui imaginaient que les « Extraterrestres » qui nous visitaient, étaient des « Grands Frères » venus d’un autre monde, afin de sauver le nôtre. Le temps aidant, chacun a pu constater que nos problèmes ne les intéressaient nullement. La guerre de Corée, le long conflit vietnamien, les révoltes du Proche-Orient, tout comme l’Irak, les ont laissé de glace. Nos expériences atomiques à répétition dans l’atmosphère, souterraines ou sous marines, tout comme Tchernobyl, ne les ont pas dérangés. Leur « science avancée » ne fut jamais mise au profit du cancer, du SIDA, du paludisme ou de nos maladies cardio-vasculaires. Il faut donc bien qu’aujourd’hui, les tenants d’un angélisme cosmique révisent leurs positions.
Nos blonds initiateurs, à l’allure angélique, ont laissé la place à des Petits Gris que l’on charge peut-être pas à tort de tous les pêchés de la création.
Pour nous, ces petits pilotes ne seraient que des êtres robotisés, des cyborgs programmés pour accomplir des missions déterminées dans notre environnement. Ces entités non biologiques n’approcheraient la race humaine que dans l’intention de la soumettre à des expériences innommables. Sans sentiments, ces nains, nés d’une science différente de la nôtre, n’auraient ni sensations, ni aucune chance d’être contaminés par notre milieu, ou les races qui y vivent. Totalement insensibles à nos agressions les plus violentes, leur programmation doit leur permettre d’échapper à toutes les menaces que nous pourrions faire courir sur eux. Sans doute même de s’autodétruire sans laisser de traces compromettantes.
Une thèse conspirationiste a été créée autour de ces lilliputiens réputés maléfiques. Nous la devons à un certain John Lear, ancien pilote d’essai, commandant de bord dans une compagnie aérienne, ce vétéran compte 17 records mondiaux de vitesse sur un avion conçu par son père, le « Jeat Lear ». Cet agent de la C.I.A. affirma en 1988 que le gouvernement américain se serait donné aux extraterrestres et se serait fait piéger par ces derniers. Après avoir conclu un échange avec des Intelligences Extérieures, leur offrant même des bases souterraines ; les U.S.A. auraient obtenu de nombreuses technologies avancées permettant à la science américaine de faire un bond de géant en avant.
En réalité, ces êtres auraient tout simplement abusé leurs interlocuteurs. L’état américain découvrit bientôt les méfaits dont étaient responsables ces E.T. notamment les mutilations de bétail et les enlèvements humains.
Tout commença en 1975. Au début, les fermiers du Comté de Logan, au Colorado pensèrent que la mort de quelques vaches n’avait aucun rapport avec ces lumières étranges qui apparaissaient souvent, à la nuit tombée au-dessus de leur région. Une sorte de vaisseau mère larguait trois petits engins qui s’approchaient lentement du sol.
Certaines observations durèrent plus de 90 minutes. Elles attirèrent l’attention des éleveurs qui, les matins suivants, découvraient un de leurs veaux ou une de leurs vaches affreusement mutilés. L’animal avait toujours une position bizarre. Les pattes levées vers le ciel et à aucun endroit, on ne trouvait les organes manquants : la langue, les yeux ou n’importe quelle autre partie de l’animal qui avait été extraite du corps.
Des plaintes furent déposées et la police locale se livra à des enquêtes précises et scrupuleuses. L’officier Graves du comté de Logan pensa immédiatement que ces tueries étaient le fait d’un prédateur énorme et affamé.
D’autres imaginèrent des « meurtres rituels » commis par des Indiens pratiquant une très antique religion ou à des cérémonies sataniques organisées par des blancs adorateurs de l’Esprit Infernal. Un moment les militaires de la base de Fort Carson passèrent pour les tueurs de troupeaux !
NDTA : Il y a quelques années, des cas de mutilations de moutons et de disparitions de nombreux animaux dans les Gorges du Verdon furent attribués aux militaires du Camp de Canjuers…
Aux Etats-Unis, le fait que la mort des animaux coïncidait presque toujours avec la présence, quelques heures auparavant, de mystérieux objets volants, émut l’opinion publique.
Accompagné de son supérieur hiérarchique Jerry Wolever, Graves se lança à la chasse aux extraterrestres tueurs de vaches.
Une surprise énorme les attendait : les mutilations étaient, selon l’avis d’un vétérinaire réputé, de véritables opérations chirurgicales, pratiquées avec des instruments de haute précision.
Graves et Wolever qui, pendant des années, avaient travaillé dans les fermes, connaissaient bien les traces que laissent sur le corps d’une vache ou d’un veau, l’agression perpétrée par un félin ou n’importe quel animal sauvage, affamé.
Dès qu’ils virent le premier cadavre, tous les deux comprirent qu’ils se trouvaient face à un mystère. L’animal gisait sur le dos, les pattes rigides dressées vers les cieux, et les incisions dans le corps étaient parfaitement propres, précises, comme faites par un bistouri conduit par la main experte d’un vétérinaire. De plus, il n’y avait aucune trace de sang sur l’animal ou à ses côtés, et comme cela ne suffisait pas, il manquait les organes… on ne les trouvait nulle part.
Bientôt quatorze comtés voisins connurent les mêmes attaques ! Partout, on constata des faits troublants. Le docteur Rieke, qui fit l’autopsie d’un cadavre mutilé, devait révéler :
« La matrice de la vache a été extraite de façon très propre, chirurgicalement par derrière, honnêtement, je ne sais pas comment l’expliquer, j’en suis encore étonné. »
Le docteur Rieke, comme le docteur Fanning, ont déclaré que les coupures étaient propres, comme réalisées par un spécialiste - il semblerait que celui-ci soit encore plus expert que n’importe quel chirurgien…
Fait à retenir et qui a sans doute son importance : ce sont presque toujours les organes sexuels qui disparaissent, comme si les prédateurs voulaient tenter des greffes sur leurs propres cheptels, ou utiliser ces réceptacles de vie comme un athanor de vie. Cependant des cadavres ont été retrouvés sans yeux, sans langue et sans oreilles. Dans certains cas des morceaux entiers de chair avaient disparu, sans que l’on puisse trouver le passage d’un instrument dans la chair de l’animal.
Près des victimes, il est impossible de repérer des traces de pas sur le sol, d’hommes ou d’animaux pas plus que des marques de pneus. Les seules occasions où l’on a retrouvé des empreintes ne servirent pas à éclairer le mystère, mais à l’épaissir… Il s’agit de traces étranges en forme de gaine de couteau, et ensuite une série de cercles de 10 centimètres de diamètre, à un mètre et demi l’un de l’autre en tripodes…
On a constaté que les animaux sauvages fuyaient la région, comme affolés par une menace invisible. Aucun d’entre eux ne s’est d’ailleurs approché de la dépouille d’une vache ou d’un veau mutilé, pourtant proies faciles à dévorer.
Les spécialistes de l’ufologie font remonter la première attaque contre un animal à septembre 1967. Il s’agit de la mort du cheval Snippy, tué dans le Colorado. Selon certains auteurs, l’autopsie révéla des détails troublants. Il n’y avait plus de traces de sang de l’équidé ni de sa cervelle, ni de sa moelle épinière ni de ses organes abdominaux.
Lorsque l’on étudie avec un peu d’attention toutes ces abominations, un malaise nous envahit. En effet, pourquoi les prédateurs découpent-ils leurs victimes en kits ? Ce puzzle macabre a-t-il un sens ?
Franchissons le Rubicon, et revenons à une actualité récente :
Claude Chapeau, coordonnateur de l’Union Européenne pour le Droit de Savoir avait réuni, peu de temps avant sa mort survenue en 2003, une importante documentation sur d’abominables créatures qui hantent notre monde.
Voici ce qu’il nous confia :
« Depuis 1994, de nombreux cas d’attaques contre des troupeaux et des animaux domestiques sont signalées dans diverses contrées des Caraïbes et d’Amérique du Sud. Des coupables ont été désignés : les CHUPACABRAS ou Suceurs de Chèvres. Ces vampires vident presque totalement leurs victimes de leur sang, après leur avoir percé un petit orifice de 0,6 cm à 1, 25 cm dans le cou. Vaches, moutons, chèvres, lapins, chiens, chats, succombent à leurs attaques. Des milliers d’animaux ont été retrouvés morts.
Pourchassés, parfois blessés par balle, les Chupacabras finissent toujours par échapper à leurs poursuivants. Décrits, dessinés, et même photographiés, ces étranges monstres ne ressemblent à aucun animal connu sur notre planète. On peut s’interroger et se demander si ces derniers ne sont pas des sortes de Frankenstein d’une race reconstituée artificiellement. Ils ressemblent à de petits dinosaures bipèdes, mesurant environ 90 cm, mais sans queue. Leurs yeux sont rouges et étirés. Des petites oreilles pointent sur leur tête. Une bouche en forme de fente laisse apparaître des crocs saillants. Ces créatures possèdent deux petits bras terminés par des griffes et de fortes jambes complétées par trois griffes également. Elles peuvent faire des bonds de 6 mètres. Couvertes de poils, elles sont effrayantes.
D’abord aperçues dans la ville d’Orocovis, ces animaux biologiquement différents, se sont manifestés dans la municipalité de Canovanas.
Les populations locales ont rapidement fait un rapprochement entre leur présence et des manifestations d’OVNI assez fréquentes dans cette région.
Le 3 octobre 1995, un Chupacabra, en sautant par dessus une clôture s’est blessé et a perdu beaucoup de sang. Des prélèvements ont été effectués et envoyés aux Etats-Unis. Ce sang est similaire au sang humain du groupe A, comportant un facteur rhésus. L’analyse génétique a prouvé que ce liquide vital ne comportait rien de comparable avec du sang humain. Le résultat des analyses n’a pas permis de classer les échantillons sanguins parmi les espèces connues sur terre. Les organismes dont ils sont issus pourraient bien provenir de manipulations génétiques avancées, à moins qu’ils soient totalement étrangers à notre environnement. »
Les Français ont la mémoire courte, et une brûlante actualité prend souvent le pas sur des faits divers insolites qui passent inaperçus. C’est dommage, car notre pays aussi a connu quelques mystères qui méritent d’être rapportés.
Nous ne parlerons pas de la polémique qui oppose actuellement les éleveurs de moutons des Alpes-Maritimes, des Alpes de Haute Provence et des Hautes Alpes au Gouvernement, sur la présence des loups dans ces régions, mais d’un prédateur qualifié, qui en 1994, provoqua une plainte des agriculteurs et des éleveurs de la FDSEA vosgiens qui portèrent plainte contre X après les méfaits d’un supposé loup qui égorgea 82 bêtes d’élevage. Les plaignants estimèrent que ces exactions avaient été commises par un animal à « l’instigation d’une personne » aux fins d’expérimentations scientifiques. Le « Loup des Vosges » fit sa première apparition en mai, dans la forêt de Senonges, et le dernier forfait eut lieu le 7 décembre contre une pouliche.
Malin comme un singe, rusé comme un renard « le Loup des Vosges » défraya la chronique des faits divers tout au long du second semestre 1994. En dévorant une jeune pouliche au début du mois de décembre le tueur de la forêt signa son 83ème forfait !
Curieusement, on signale depuis déjà pas mal d’années, dans plusieurs régions de France, de telles destructions attribuées à de nuisibles totalement inconnus.
Nous le savons, l’apparition d’animaux fabuleux donne lieu, depuis les temps les plus reculés, aux mythes les plus solides et aux légendes les plus extraordinaires. L’imagination populaire a apporté à cet édifice quelques-uns de ses plus beaux fleurons. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les bêtes mystérieuses n’ont pas totalement disparu et, depuis une ou deux décennies, on peut se demander si des êtres issus d’un autre espace ne procèdent pas à l’adaptation sur notre planète d’animaux totalement inconnus. Remémorons-nous les termes de la plainte des membres de la FDSEA : « à l’instigation d’une personne aux fins d’expérimentation scientifique (?). »
En 1965, dans la région de Toulouse, les troupeaux des pères trappistes de l’abbaye de Sainte-Marie du désert et ceux du Comte d’Orgeix furent décimés par un animal mystérieux. Trois étudiants de la région de Cadours qui circulaient un soir en voiture, virent deux animaux d’une taille supérieure à celle d’un chien loup. Ils avaient le pelage beige clair. Ces étranges créatures faisaient penser à d’énormes molosses, aux yeux globuleux. Les tueurs à quatre pattes disparurent aussi mystérieusement qu’ils étaient apparus.
Un an plus tard, au mois de mai, dans la région de Pignans (Var), un métayer. M. Baptistin G…, qui dormait dans une petite maison située à 2 km du village, fut réveillé par des aboiements furieux de son chien. Il se leva, donna de la lumière et aperçut la silhouette d’un animal colossal qui s’enfonçait dans les ténèbres. Le lendemain matin, il découvrit auprès du bassin d’arrosage des empreintes de dimensions tout à fait surprenantes.
Les autorités furent alertées. Le service des Eaux et Forêts photographia les traces et en fit un moulage, mais personne ne fut capable de dire à quel genre d’animal elles appartenaient.
Pendant plusieurs semaines, les habitants de la région n’osèrent plus sortir le soir et les plus audacieux ne manquaient pas d’emporter avec eux un bon fusil.
Dans son livre « Les Chroniques des mondes parallèles » (Les énigmes de l’univers---Robert Laffont Editeur—1974) Guy Tarade rapporte :
« En 1972, dans la région du Vigan, dans l’Hérault, des étudiants en médecine qui participaient à une chasse dans une zone enneigée découvrirent les empreintes d’un animal inconnu. Ils suivirent ses traces pendant plusieurs kilomètres. Soudain, celles-ci disparurent devant un rocher qui émergeait du sol. La bête semblait s’être dressée sur son train arrière et avoir été récupérée par des maîtres situés à bord d’une machine volante ! »
A la mi-août 1966, un monstre hanta la région de Draguignan, près de la route qui conduit à Grasse, région où plusieurs OVNI avaient été aperçus en vol et au sol.
Un ancien militaire, M. Paul G…, se trouva un matin vers 7 heures face à face avec la bête. L’animal avait la gueule ouverte : un museau pointu, assez long et des dents triangulaires. Elle avait sous le cou un goitre qui lui donnait un aspect effrayant. Les oreilles étaient courtes comme celles d’un chien, mais très pointues. Le corps était très long et recouvert d’un pelage gris, prolongé par une queue longue d’au moins 40 cm.
Parfois la nature se fourvoie dans ses créations, mais les monstres hybrides sont bien connus des savants qui les identifient avec précision… A Cadours, à Pignans, à Draguignan, les inquiétants animaux parvinrent à s’enfuir et à se faire oublier. Leur présence pourrait être considérée comme un canular, si des traces ne faisaient foi de leur réelle présence. Il arrive cependant que d’étranges bêtes tombent sous les coups des chasseurs. M. Henri C... , un Nemrod Vauclusien, tua près d’un petit bois situé aux confins du Vaucluse et des Hautes Alpes, un animal inconnu qui avait la taille d’un gros chien pesant 25 kg. Sa tête ressemblait à celle d’un renard, mais un front fuyant lui donnait une longueur démesurée. Son pelage était court et roux, ses pattes rondes, et il était doté en outre d’une longue queue et d’oreilles pointues. Sa gueule possédait des crocs redoutables et particulièrement dangereux.
En 1967, on signala la présence de nombreux monstres un peu partout en France. Dans la Creuse notamment, entre Royère et Chavanat, une sorte de félin inconnu fut débusqué par un cultivateur du hameau de Cloux Valleret, M. Simo…Huit jours plus tôt, des fermiers vosgiens (déjà) avaient traqué un animal d’espèce indéterminée qui ressemblait à un loup.
En Italie, au mois de juin 1970, à Meldola, à une dizaine de kilomètres de Forli, un paysan prétendit avoir rencontré une sorte de dragon long de six à sept mètres et dont le corps avait 25 cm de diamètre. Les carabiniers organisèrent une battue qui ne donna aucun résultat. Le monstre se manifesta à une ou deux autres reprises et disparut pour toujours.
Post original de Guy Tarade ICI
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