Femme, un petit mot qui renferme de grands mystères, Isis, de qui aucun mortel n’a levé le voile. Nous voulons partager avec toi cette aspiration à vivre. Nous voulons t'inviter à lire les pages de la vie des Grandes Initiées. Elles ont été grandes car elles ont parcouru leur chemin avec le véhicule du sacrifice, de l’amour pour l’humanité et pour Dieu.
Quand nous feuilletons l’histoire de notre race, nous trouvons principalement les noms de grands hommes, de grands dirigeants, d'écrivains, de mystiques, de Maîtres, et nous trouvons rarement les noms de grandes femmes.
L’homme est différent de la femme, depuis que Dieu les a créés. Dans la Création, la force masculine est complémentée par la féminine, mais elles sont différentes. Pour comprendre réellement ce qu’est être une femme, il faut étudier l’Éternel Féminin Cosmique dans l’Univers et dans la Nature, où l’on voit comment agit la Mère Divine. Le principe masculin est le pôle projecteur, celui qui donne. Alors que le principe féminin est le pôle réceptif, celui qui prend soin, la colonne du temple. Pour cette raison, l’homme a tenu dans la société un rôle plus actif et la femme un rôle plus passif.
Cependant, le Maître Samael Aun Weor nous dit qu’une femme peut s’auto-réaliser tout comme un homme, mais la manière de le faire est différente, en suivant sa nature et son devoir en fonction de son sexe. C'est un Kali-Yuga où tout est confusion et où nous oublions ce qui est naturel, normal, mais si nous pouvions aller aussi sur d’autres planètes, nous verrions des femmes se consacrer à l’art, au soin de leur famille, à l’éducation de leurs enfants, et en étant de grandes sages, elles donnent de la force à l’homme et à la société.
Les civilisations anciennes voyaient la Mère Divine, la Mère Cosmique comme l’Espace, quand nous levons nos regards vers le Ciel, il est là, mais nous ne le voyons pas, il est invisible. Ainsi, la Mère Divine est en tout, elle est ce qui embrasse tout et qui donne forme à tout, mais elle ne se voit pas. C’est pourquoi, la Divine Mère Isis est cette force qui, seulement quand on la découvre, est celle qui nous révèle l’Occultisme, la connaissance de la Gnose, les choses qui sont invisibles pour les sens et l’entendement.
Si les femmes, nous sommes à l’image et la ressemblance de la Mère Divine, alors réfléchissons profondément sur quel est notre rôle. Il y a là des méditations, des réflexions et des révélations pour de nombreuses années, ou pour toute la vie...
...Dieu dans sa partie masculine est Sagesse et Dieu dans sa partie féminine est Amour...
Quand nous lisons les "Grands Initiés" d’Édouard Schuré, surgit en nous le désir d’écrire sur les Grandes Initiées et de fouiller dans leurs connaissances et leurs secrets pour savoir ce qui les a élevées, comment elles se sont éveillées, comment elles étaient en tant que femmes, épouses, mères et quels étaient leurs secrets pour faire de leur mariage, l’outil magique pour ressusciter.
Il y a eu tant de femmes vaillantes et admirables, tant d’hommes grandioses dans l’histoire et derrière chacun, il y a une grande femme. Mais très souvent, à cause de leur rôle féminin, l’histoire ne les a pas connues. De plus, comme nous le dit le Maître Kwen Khan, les cultures ont toujours été phalliques, et c’est pourquoi, il y a des Patriarches et non des Matriarches, bien que dans l’histoire nous ayons vu de tout, mais ceci est naturel et suit le modèle divin où le rôle masculin est celui qui fait face à la société, alors que la femme est celle qui, en amont ou de l’intérieur, l’anime ou lui donne vie, comme la Mère qui porte l’enfant dans l’obscurité de son ventre.
Ânkhésenamon n’était-elle pas unie à Toutankhamon ? Séraphine n’était-elle pas silencieuse, derrière le grand Cagliostro ? Théano n’était-elle pas derrière le Maître Pythagore ? Yashodhara n’était-elle pas derrière le grand Bouddha ? Et Séphora derrière Moïse ? Et Sarah derrière Abraham ? Marie-Madeleine n’était-elle pas derrière le Maître Aberamento ou Jésus-Christ ?
Déjà, par nature, la femme possède le sens innée du sacrifice. Il est normal de voir une mère aimer ses enfants, s’en occuper, donner sa vie pour eux si c'est nécessaire. Mais cet acte inné devrait s’étendre non seulement aux enfants, mais à toute l’humanité. Comme par exemple, le rôle tenu par de grandes femmes, qui viennent à notre mémoire ou même des noms de femmes inconnues qui sans faire de bruit, travaillent inlassablement. Lutteuses, qui sur le champ de bataille, n’ont jamais fait ou ne font jamais de pas en arrière. Des femmes qui, comme grandes martyres silencieuses, se sont converties en fontaine de sagesse et en de véritables représentantes de l’éternel féminin.
Soudain retentit à travers les époques, les noms de femmes merveilleuses comme Néfertiti, Néfertari, la princesse égyptienne Mutemuia, Tiyi (épouse de Ramsès III), la Sibylle de Cumes, la reine Kunti (tante de Krishna), Sarasvatî et Nichdali (disciples de Krishna), la reine de Saba, Séraphine, Priscilla, Maximilla, Flore, l’esclave chrétienne Blandine, Fatima, Sainte Lucie, Mme Blavatsky, Marie-Antoinette, Marie des Antilles, Sainte Ursule, la maîtresse gnostique Marcelline, la maîtresse maya Marie Pasteur, Sainte Brigitte, la princesse tibétaine Yeshe Tsogyel (épouse de Padmasambhava), Marie la Prophétesse, Théocléa (disciple de Pythagore), la grandiose pythonisse de l’Oracle de Delphes appelée Divinus, la reine Syamavati et sa servante Uttara (toutes deux disciples de Bouddha).
Dans les Évangiles Apocryphes, par exemple, nous avons les enseignements de quelques femmes comme Salomé, Marthe, Marie, Ève, et Marie-Madeleine en personne.
Ainsi, depuis l’antiquité, nous entendons la rumeur des vestales égyptiennes, des sibylles de l'Érythrée, des dakinis tibétaines, des hétaïres grecques, des magiciennes aztèques, des prêtresses du Japon, des hiérophantes du Moyen-Orient.
Au sujet des femmes, Bouddha nous dit : Il n’existe pas de distinction entre l’homme et la femme dans la recherche du Chemin de l’Illumination. Bien qu’elle soit une femme, si elle décide de chercher l’illumination, elle deviendra une femme héroïque sur le Chemin de la Vérité...La véritable signification de la vie familiale, c'est d'avancer sur le Chemin en s’aidant mutuellement. Bien qu'elle soit une femme commune, si elle décide de suivre le Chemin...et a de profondes aspirations, elle peut se transformer en une grande disciple de Bouddha”.
Nous allons voyager maintenant à travers quelques fragments de l’histoire pour connaître les noms de quelques femmes remarquables dans le monde du savoir et de l’ésotérisme :
La philosophie islamique commence avec une tradition qui s’appelle La Falasifa, mais c’était en réalité une femme sage. Peut-être a-t-on caché son identité à cause des mauvaises interprétations qui ont été donnée du Coran et qui on fait penser que la femme n’a pas autant de valeur que l’homme.
Née en Assyrie, au 9ème siècle avant J.C., Sammuramat était une femme exceptionnellement forte et puissante, à tel point qu’elle avait l'habitude d'accompagner son mari sur le champ de bataille et de participer avec lui, dans les luttes de corps à corps, l’aidant ainsi à conquérir et à étendre le contrôle de la Babylonie sur le reste des pays voisins. Il est dit qu'on lui doit le rétablissement de la beauté de la capitale de Babylonie, à l'époque dénommée Babylone, après sa première attaque.
De très anciennes sources d’information historiques montrent la femme tenant un rôle central et important dans le développement des connaissances pythagoriques en général. On sait que Pythagore a acquis la plupart de ses connaissances éthiques et doctrinales de Thémistocle, impératrice de Delphes. De nombreuses phrases textuelles de Pythagore provenaient directement d’elle.
Épouse de Pythagore. Avec ce mariage, Pythagore apposa le sceau de la réalisation de son œuvre. Elle était membre, conjointement avec ses trois fils, du culte pythagoricien original. Il existe un document attribué à Théano de Crotone, qui est une réflexion très profonde sur des sujets métaphysiques. Elle a aussi écrit un grand nombre de livres sur les thèmes suivants : Le Mariage, le Sexe, la Femme et l’Éthique Supérieure. Quand Pythagore est mort, elle a servi de centre à l’ordre pythagoricien. Un auteur grec cite, comme autorité, son opinion sur la doctrine des Nombres.
Cette remarquable femme de savoir, a été l'une des Maîtresses directes de Pythagore, qui a appris aux pieds de son immense connaissance des Doctrines Secrètes. Une grande Philosophe. Elle était experte dans les arts de l’amour. Dans le dialogue du Banquet ou de l’Amour de Platon, on la cite et Socrate dit lui devoir tout ce qu’il sait.
Elle fût une grande et influente femme intellectuelle, active dans les cercles de la politique et de la philosophie, à l’époque du philosophe Platon. Elle était en étroite relation avec le cercle philosophique de Périclès. Ce dernier, leader puissant et populaire d’Athènes, était impressionné par la profondeur et l’intégrité de cette femme, qui est devenue son épouse. Aspasie était quelqu’un qui possédait une connaissance politique profonde. Les philosophes de l’époque l’ont nommée “brillante et renommée ministre de l’éloquence”. Socrate lui-même rendait visite à cette femme autant qu’il le pouvait pour apprendre d’elle la science de la Rhétorique.
Cette grande femme faisait partie des derniers groupes philosophiques purs nés de Pythagore. Elle a vécu vers l’an 425 après J.C. Elle s’intéressait plus que tout, à développer les principes de l’Harmonie Cosmique, qui incluent : la Géométrie, l’Arithmétique, la Musique et le Cosmos. Tout cela basé sur de grands principes éthiques de fond. Aésara a dit quelque chose de très intéressant : "En analysant la nature de l’âme, nous pouvons savoir quelle est la justice individuelle, familiale et sociale, correcte”.
Elle a écrit un livre intitulé "Sur l’Harmonie de la Femme”, qui dévoilait la sagesse et les connaissances des Prêtresses antiques.
C'était une grande magicienne et théurge, contemporaine d'Hypatie d’Alexandrie. Elle se concentra à apprendre et à comprendre les principes secrets qui gouvernent l’univers. Elle a affirmé que ses connaissances provenaient en majorité du philosophe Platon. L’histoire sait qu’elle fut sans aucun doute une grande mystique.
Elle était la sœur d'Aristippe, étudiant et ami de Socrate.
Aristippe a été l’ami que l’histoire enregistre comme étant présent le jour des funérailles de Socrate. Il a fondé l’École Cyrénaïque à Cyrène, laquelle fut dirigée plus tard par Arété de Cyrène elle-même. Elle a enseigné la philosophie pendant plus de 30 ans et a écrit 40 livres sur ce sujet. Parmi ses disciples, nous trouvons rien moins que 110 philosophes les plus célèbres de l’histoire grecque. Cette femme était considérée comme si importante qu'à l’heure de sa mort, un grand nombre de personnes qui l’aimaient beaucoup pour ce qu'elle avait légué, ont gravé sur sa tombe ce qui suit : "Tu as été la Splendeur de la Grèce, tu possédais la Beauté d’Hélène, les vertus de Thirmée, la Plume d’Aristippe, l’Âme de Socrate et le Verbe d’Homère”.
Femme philosophe et sage de l’époque postérieure à Aristote.
Elle fut considérée comme la plus grande mystique italienne. Elle s'est profondément impliquée dans les questions de l’église et de la politique de la Renaissance, en essayant d’améliorer la situation de décadence qui se voyait déjà à cette époque. Avec tout cela, elle s'est mise en grave danger de mort. Tout ce qu’elle disait dans ses discours était grandement basé sur un savoir qui était proche de l’occulte. Elle a toujours été considérée comme une grande philosophe dans la tradition mystique chrétienne.
Grâce à sa persévérance et à sa force de caractère, ses disciples furent nombreux.
Elle fut l’une des plus grandes femmes de lettres du 16ème siècle. Elle a basé sa philosophie de la nature humaine, sur les cosmologies médiévales. Celles-ci soutiennent que les êtres humains sont un Microcosme à l'intérieur d'un Macrocosme, en s'appuyant sur les philosophes les plus éminents de l’antiquité. Elle était profondément experte en science médicale et en études anatomiques de son temps.
En France, cette femme remarquable a écrit une œuvre sur la philosophie morale, complètement en avance sur son époque, puisque une telle forme de penser était considérée comme hérésie. C’est l'une des premières femmes à revendiquer le fait que les hommes et les femmes ont une place concrète dans la vie, et qu’ils ne sont ni meilleurs ni pires, mais complémentaires.
Au 17ème siècle, la mystique française Jeanne Marie était connue sous le nom de “Madame Guyon”. Veuve à 28 ans, elle commence à prêcher sa philosophie du mysticisme dans le sud de la France.
Elle a introduit la doctrine de la contemplation, ramenée d’orient en occident. Cette forme d’adoration contemplative essayait surtout d'écarter le mental des choses matérielles et de le concentrer sur le divin. Ses idées enflammèrent de colère, l’Archevêque de Paris, qui l’emprisonna en 1688 pour un an, elle fût libérée grâce à l’influence de la femme du Roi. Elle fut de nouveau mise en prison en 1695 à cause de ses écrits, et a été maintenue prisonnière pendant 8 longues années. Quand elle fut libérée, on a exigé d’elle comme condition qu’elle quitte Paris. Malgré tout ce qui lui était arrivé, elle a continué à aller de l'avant avec sa doctrine jusqu’à la fin de ses jours.
Cette femme a été l’une des compositrices et musiciennes les plus prolifiques de l’époque Médiévale. Elle est née dans une famille noble, en Allemagne, en 1179. Elle prêchait le Sacré, et elle expérimentait des visions profondes du divin depuis qu'elle était toute petite, dès l’âge de 3 ans. Elle était versée dans la connaissance des herbes médicinales, de l’enseignement, de l’organisation de monastères, des études, des écrits, des illuminations, des manuscrits secrets, des compositions variées, etc. Elle a écrit de très précieux manuscrits sur les relations humaines et la manière de mieux s'entendre avec son prochain. Elle a été aussi une chercheuse, inquiète, de tout ce qui se passait dans sa vie.
Sainte Bernadette est née le 7 janvier 1844 dans le petit village de Lourdes, dans les belles montagnes des Pyrénées françaises. Pour son baptême, on lui a donné le nom de Marie-Bernard, mais depuis toute petite, on l'appelait par le diminutif de “Bernadette”. Elle était profondément religieuse, un exemple d’humilité, de sacrifice et de confiance en Dieu.
En ces époques de tribulations et de tristesse, Bernadette disait généralement : "Quand l’émotion est trop forte, je me rappelle les paroles de notre Seigneur, «Je Suis là, n’ayez pas peur»”. Alors je remercie immédiatement pour le rejet et les humiliations de mes Supérieures et de mes compagnes pour cette grande grâce. C’est l’amour du Bon Maître qui fera disparaître l’arbre de l’orgueil dans ses mauvaises racines. Pus petite je me fais, et plus je grandis dans le Cœur de Dieu”.
Il existe beaucoup d’autres femmes sages et conscientes, comme Hélèna Petrovna Blavatsky, Maîtresse d’origine russe qui eut pour mission de ramener l’ésotérisme d’orient en occident, en expliquant la sagesse antique d’une manière plus intellectuelle au goût de l’Occident. Et nous pourrions ainsi encore parler de beaucoup de femmes, sages, initiées ou Maîtresses.
Maintenant, nous allons approfondir un peu plus la vie de 5 grandes Maîtresses. Cinq femmes qui attirent notre attention et, bien que leurs époques, leurs circonstances, leur vie aient été différentes, toutes coïncident en une chose : leur vie se résume dans le mot Sacrifice. Ces femmes sont : Sainte Thérèse d’Avila, Jeanne d’Arc, Hypatie d’Alexandrie, Sainte Eulalie et Marie-Madeleine.
Après ce que l'on vient de partager, on se rend compte qu’une personne pour parvenir à être grande, qu'elle soit homme ou femme, a besoin d'un ingrédient spécial et indispensable : LE SACRIFICE. Nous avons pu voir, en nous penchant sur la vie de toutes ces femmes, que d’une manière ou d’une autre, la ligne directrice de leur vie était le sacrifice, l’amour et la fidélité à Dieu.
Ces femmes nous ont laissé un grand enseignement car elles nous ont montré comment elles se sont oubliées de leur propre vie et de leur douleur, pour obéir de manière inconditionnelle à la Volonté Divine et pour se consacrer à l’humanité, car en étant éveillées, elles ont bien compris ce que nous enseigne le Maître Samael, que le troisème facteur est le plus important pour l’éveil.
Quand les femmes ont questionné le Maître Samael sur le rôle de la femme, il a répondu que sa responsabilité était la décapitation de Jean-Baptiste. Ainsi, nous avons besoin de naître, mourir, nous sacrifier, et d'être infiniment féminines intérieurement, pour être en affinité avec notre Mère Intérieure.
Avec ces réflexions, nous essayons de laisser une impulsion, une aspiration, un exemple, l'espérance pour lutter avec courage pour atteindre les idéaux les plus sublimes, sans oublier un seul instant que c’est en nous consacrant aux autres, en ayant foi en notre Étoile et en laissant de côté notre égoïsme et notre peur, que nous pourrons réellement arriver un jour à nous convertir en femmes et hommes véritables.
La femme la plus grande de toutes, la détentrice de toutes les perfections et notre Maîtresse Universelle, c’est notre BÉNIE MÈRE DIVINE. C’est à ELLE que nous dédions ces lignes et c’est à ELLE que nous demandons protection et guidance éternelle. Nous la supplions de lever son voile et de nous introduire au cœur de tous ses mystères.
Chaque femme est le cristal à travers lequel peut se refléter cette Mère Supérieure et chaque femme peut devenir une avec ELLE, si elle se purifie.
Ceci est un appel pour les femmes rebelles qui osent vraiment être féminines. Qui ne soupire pas en regardant le film "Le Dernier Samouraï", devant les valeurs antiques, la fidélité et l’honneur des temps perdus, et quel homme ne soupire pas devant le rôle de force et de douceur de la femme du Samouraï.
Femme, écoute cet appel, remplit ton rôle avec honneur, redevient paisible, douce, humble, pleine de sacrifices, patiente, sage, courageuse, persévérante, fidèle, innocente...Redevient l'image du Dieu Mère sur la Terre, redevient la Colonne du Temple de Dieu, redevient l'éclat dans la Lumière et la chaleur dans le Feu, car c'est ta mission dès maintenant et pour toujours...
Guillermina Sánchez Bautista
Janvier 2009
Nous dédions ce travail à la Mère Divine, qui, avec sa force et son inépuisable amour, est la muse qui inspire tout chercheur sincère de la Lumière. |
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Commentaires 2
Je suis très intéressé par vos articles
La femme Ysha a été initié par le Serpent à l'arbre des séphiroth ou à la Kundalini Sakti. Il y a eu un demi échec dans cette initiation qui se voit dans le nom de Eve Haoua חוה avec les deux dernières lettres וה du nom de Dieu YHWH-יהוה.C'est pourquoi Eve dit : J'ai formé un homme avec l'aide de l'Éternel YHWH - Gen 4/1. Mais qui a appris le nom de l'Eternel YHWH à Eve ? Si ce n'est le Serpent, car ce nom ne sera révélé à Moïse que dans le Sinaï. Auparavant les humains n'étaient qu'à l'image de Dieu Gen 1/27, ce n'est qu'après la transgression que l'homme sera à la ressemblance : Voici que l'homme est devenu comme l'un de nous - Gen 3/22. Apparemment le serpent est le maître du jardin et de l'Eden, El Elyon.