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Ouroboros, la Tradition Secrète (Partie 17, Bonus)

Ouroboros, la Tradition Secrète (Partie 17, Bonus)

 

Des correspondances et des Analogies

A l'équipe PierrePhilo

Henri-Corneille Agrippa de Nettesheim (1486-1535)

S'il y a bien quelqu'un à la Renaissance qui a mis au goût du jour la science des analogies et des correspondances, c'est bien Henri Corneille-Agrippa de Nettesheim, dit Cornélius Agrippa. On le surnomme aussi "l'Archimage".

Cette doctrine propre aux occultistes et aux ésotéristes émet l'idée d'un univers vivant, fait de correspondances secrètes, de sympathies occultes, où partout souffle l'esprit, et s'entrecroisent de toutes parts des signes ayant une signification cachée.

Né en 1486 à Cologne, il va s'intéresser et pratiquer toutes les sciences connues de son temps : astrologie, magie, lettres classiques, médecine, droit, théologie, philosophie, science de la guerre, kabbale chrétienne, exégèse, diplomatie, cryptographie et enseignement.

Il maîtrisait autant de langues que de disciplines : allemand, Français, Italien, Espagnol, Anglais, Latin, Grec et Hébreu. Ce qui lui permettra de voyager sur toute l'Europe, mais aussi celui lui permet d'étudier pratiquement tous les textes occultes de son époque en leur langue originale.

« Ce qui donne une compréhension directe des pensées sous-jacentes de la littérature dite "hermétique". »

Il est amené à voyager une bonne partie de sa vie à cause de son caractère et de ses opinions. Il est à Paris en 1506 où il fonde une association d'amis qui pratiquent l'alchimie. En 1509, il enseigne à Dole la kabbale Chrétienne, puis il est à Oxford.

En 1512, il est capitaine de l'armée de Maximillien qui s'attaque à Venise, puis il donne des conférences sur le très ésotérique Poimandrès du Corpus Hermeticum, à Pavie.

En 1515, il est à Metz, en 1520 à Cologne, en 1522 à Genève puis à Lyon. En 1527, il est de retour à Paris, en 1529 à Anvers. En 1533, il est arrêté à Lyon et emprisonné suite à la parution de son œuvre "De Occulta Philosophia" pour cause de pratique de la magie.

Libéré en 1534, il meurt l'année suivante à Grenoble, auréolé de légendes qui font de lui un docteur Faust dont le chien noir, à la disparition de son maître, se serait jeté dans l'Isère.

Son œuvre principale, "De Occulta Philosophia", provoque ainsi les remous auprès des autorités politiques et religieuses. Elle se divise en quatre livres dont le dernier est apocryphe. Il a été ajouté en 1559.

(Agrippa dit en quelques endroits de ses épîtres qu'il se réservait la clef des trois livres.)

"De Occulta Philosophia" multiplie les précautions et distingue la bonne magie de la mauvaise. Il met en garde contre les impostures de la divination mais justifie une « magie naturelle » où l'art n'est que l'actif ministre de la nature.

Le projet de Cornélius Agrippa est de concilier la théologie catholique, la physique aristotélicienne et les mystères antiques.

Combinant Hermès et Moïse, il définit le monde comme le reflet de la puissance divine. Les vertus cachées des choses viennent des Idées divines par l'entremise de « l'Âme du Monde ».

Pour lui la nature est vivante et imprégnée de la vie et de l'esprit du monde, elle est organisée selon l'analogie et les correspondances :

"les os du rapport avec la Terre, la chair avec l'Air, l'esprit vital avec le Feu, et les humeurs avec l'Eau."

La pensée par analogies et correspondances remonte aux Sumériens, vers 2800 av.J.-C. Ils mettaient en correspondances le gypse et le dieu Nin, la torche et le dieu Nusku.

Orphée parle de "lien puissant", de "chaîne d'or", les quatre fleuves correspondent selon son enseignement aux quatre Éléments souterrains et aux quatre points cardinaux.

Dans le recueil chinois du VIe siècle, le "Chou yi ki" raconte que d'un œuf primitif naquit un Géant "P'An-Kou", et que lorsque le Ciel et la Terre se constituèrent, les purs éléments Yang formèrent le Ciel, les grossiers éléments Yin formèrent la Terre, puis à la mort de ce dernier ses yeux devinrent le Soleil et la Lune.

« les correspondances : yeux/luminaires, Yin/Yang manifestent et procèdent de la méthodologie analogique. »

Le premier théoricien ; en Occident, est Pythagore, vers 530 av.J.-C. Il pose le principe :

« La nature est en tout semblable à elle-même. »

Autrement dit, on retrouve les mêmes forces aux divers niveaux de la nature, avec équivalences.

Il établit des corrélations entre nombres et figures, lorsqu'il parle de nombre linéaires – triangulaires, carrés, rectangulaires, cubiques ; cette analogie entre nombres et figures, donc entre arithmétique et géométrie, pose les correspondances entre trois et triangle, quatre et carré, sept et rectangle, huit et cube.

Les néo-pythagoriciens vont plus loin, ils font correspondre le Tetractys qui symbolise les quatre éléments avec le Tetragrammaton des Hébreux car YHWH ou IOVA – IEOVA – JEHOVAH représente : la terre, l 'air, le feu et l'eau.

Ainsi, l'oeuvre majeure de Cornélius Agrippa, malgré le scepticisme dont il fit preuve à la fin de sa vie, reste "De Occulta Philosophia".

C'est une bonne forme d'encyclopédie pratique qui intègre de nombreux enseignements de traditions anciennes comme celles des correspondances.

La rédaction de l'oeuvre suit la division tripartite de l'univers en se décomposant en trois livres. À chaque livre correspond une magie :

  • "magie naturelle" (physique merveilleuse) pour le monde élémental,
  • "magie céleste" (astrologie, arithmologie) pour le monde céleste,
  • "magie cérémonielle" (goétie ou théurgie) pour le monde spirituel.

Ces trois livres sont intimement liés les uns aux autres ; tout comme l'univers

« chaque monde inférieur est gouverné par un monde supérieur et reçoit l'influence de ses forces ».

En termes hermétiques,

"tout ce qui est en bas est comme ce qui est en haut" (La table d'Emeraude).

Sa quête va le mener sur les sentiers de la Prisca theologia des néoplatoniciens de la Renaissance où il entrera en contact avec les écrits attribués à Hermès Trismégiste, les textes de Zoroastre, les Oracles chaldaïques des anciens Babyloniens ainsi que les Hymnes orphiques des pythagoriciens…

 

Livre Premier

« La Magie Naturelle »

Le premier opus est un traité complet de science occulte, il traite, entre autre, des quatre éléments – l'Eau, la Terre, l'Air et le Feu – qui sont associés à des réflexions sur la divination et les influences occultes répandues dans la nature.

On y apprend que les quatre éléments sont mêlés du plus et du moins, et sont capables de transmutation entre eux, et qu'ils possèdent plusieurs qualités et oppositions.

Ainsi, chaque élément a deux qualités spécifiques dont la première lui est propre et inséparable, et la seconde comme moyenne entre deux convient avec la suivante ; car le feu est chaud et sec, la terre est sèche et froide, l'eau est froide et humide, et l'air est humide et chaud ; et c'est par ces deux qualités opposées que les éléments sont contraires entre eux, comme le feu à l'eau et la terre à l'air.

De plus, ils possèdent une autre forme d'opposition entre eux ; car quelques-uns sont pesants comme la terre et l'eau et d'autres sont légers comme l'air et le feu. C'est pourquoi les stoïciens appellent les premiers les éléments passifs, et les derniers actifs.

Aussi, un passage évoque les vertus naturelles des éléments, comme chauffer, refroidir, rendre humide, sécher, et nous explique les diverses opérations possibles de ces qualités.

Agrippa conclut sur ce sujet :

« chacun de ces éléments a trois différentes qualités ; faisant en ce nombre de quatre celui de douze et passant par le nombre de sept à celui de dix l'on parvient à cette suprême unité d'où dépendent toutes les vertus et les effets merveilleux ».

Après avoir passé en revue les éléments, Cornélius se consacre aux planètes, il les fait correspondre aux éléments et leur trouve plusieurs analogies entre elles, ainsi que des sympathies et antipathies, au final cela nous apprend pourquoi l'aimant a la vertu particulière d'attirer le fer, et que pour peu qu'on lui présente un diamant il la lui ôte.

Zoroastre appelle « attracteur divin » ces vertus répandues sur les choses par les influences célestes. C'est donc par cet esprit que toutes les qualités occultes s'étendent sur les herbes, les pierres, les métaux et les animaux, et cet esprit peut autant nous être utile lorsque nous savons les séparer des autres éléments comme le diamant empêche d'attirer le fer.

C'est pourquoi les alchimistes cherchent à tirer ou séparer cet esprit de l'or, car dès qu'ils l'extraient ils peuvent ensuite l'appliquer à toutes sortes de matières de la même espèce, c'est-à-dire des métaux pour en faire de l'or.

Cornélius Agrippa, à l'instar des anciens, savait observer les affinités entre les choses qui nous entourent, il avait remarqué une constante un peu comme le Nombre d'Or : que le monde spirituel se superpose à l'univers terrestre par de puissants liens.

Djallal od-dîn Rumi parle en ces termes :

« quand l'un des sens a relâché ses liens, tout le reste des sens est changé. Quand l'un des sens a perçu des objets qui ne sont pas objets de perception sensorielle, ce qui est du monde invisible devient apparent à tous les sens ».

À travers la perception renouvelée du monde, la vie elle-même devient une source d'initiation et de connaissance : en fait, toute vision du monde spirituel dans la réalité matérielle peut devenir une source de pouvoir.

« Ainsi s'opère la magie, par un dérèglement des sens. »

Alors une "Pierre Philosophale" aiguise notre optique, la Matière n'est plus morte mais vivante, elle est transmutée et tranche toute idée figée par l'expérience extatique, comme par enchantement.

Elle renferme en elle au moyen de ses vertus occultes les « résonances cosmiques » :

« Le sorcier une fois qu'il aura affûté son optique son raisonnement se transcendera et il deviendra "Voyant". »

La magie est donc physiquement présente derrière chaque chose à l'instar des pierres levées Celtiques (elles étaient également censées détenir des propriétés magiques).

C'est avec cet état d'esprit que Cornélius préparera ses talismans et ses amulettes.

Tout objet, même transformé par l'homme, est animé de vie, tout dans la nature parle... Les épées des grands guerriers Celtes, quand ils les nettoyaient, racontent les aventures de leurs anciens propriétaires.

Tout veut exprimer quelque chose ; rien n'est muet : c'est la principe de la magie. Tout objet détient un pouvoir magique pour celui qui ait réveiller la parcelle de « l'Âme du Monde ».

« Cornélius dans le livre parle des fumigations et des outils qui correspondent pour la confection des objets protecteurs, amulettes et autres.

Au chapitre XVI, il explique les différentes vertus qui transfusent d'une chose à une autre et comment elles se communiquent réciproquement. »

Démocrite, Orphée et Pythagoriciens ont cherché les vertus des corps célestes et de leurs inférieurs. Ils y voyaient des dieux, or ces dieux n'étaient autres que ce que Zoroastre nommait : « attracteurs divins » (Rayons des Etoiles selon les Babyloniens) et pour d'autres (Âme).

L'Âme du Monde (ou l'Esprit du Monde) fait le rôle de médiateur conjointement avec l'âme qui œuvre à la fabrication des talismans. Comme l'homme qui étend son entendement sur les choses intelligibles et son imagination sur ce qu'il s'imagine.

Ainsi, les rayons des étoiles par l'entremise de l'Âme du Monde répandent dans le talisman les vertus occultes désirées (conjointement selon telle disposition des planètes) et les images du "forgeron" s'influent sur l'objet voulu : talismans, anneaux, etc...

Pour conclure le sujet des éléments et des planètes, Cornélius nous présente que toutes choses ont du Rapport et de la Contrariété. Comme nous l'avons vu au début dans les éléments : le Feu et contraire à l'Eau, l'Air à la Terre, et cependant ils conviennent entre eux.

Il en est de même pour les corps célestes, ainsi : Mercure, Jupiter, le Soleil et la Lune sont amis de Saturne ; Mars et Vénus lui sont contraires.

Toutes ces planètes, exceptée Mars, sont amies de Jupiter, et de même ils haïssent tous Mars à la réserve de Vénus ; Jupiter et Vénus aiment le Soleil ; Mars, Mercure et la Lune sont contraires ; ils aiment tous Vénus, à l'exception de Saturne ; Mars et Mercure sont ennemies.

Agrippa dit sur les sympathies :

« ces habitudes, amitiés et inimitiés ne sont autre chose que certaines inclinations que les choses ont mutuellement les unes aux autres. Souhaitant telle ou telle chose quand elles ne la possèdent pas et une fois pourvues, trouvent le repos quand elles le possèdent, mais, fuyant son contraire ne trouvent pas de repos ».

Sur ce fondement, Héraclite dit que tout se fait par contrariété et amitié.

La sympathie universelle suppose une concordance entre diverses réalités physiques, le monde est pénétré partout d'un même feu-logos qui en est le principe de cohésion, de mouvement, de vie.

Chaque partie du monde communie dans un même sentiment et un même souffle. Ce qui affecte une partie affecte les autres : sym-pathie.

Dans la mythologie grecque, Eros est le fils d'Arès et d'Aphrodite, est frère d'Antéros. Celui-ci incarne l'« amour retourné », c'est-à-dire l'amour réciproque et il punit également ceux qui se moquent de l'amour.

Eros et Antéros sont indissociables, ils sont le principe qui rend manifeste la dualité, la multiplicité incluse dans l'unité.

Ils ont pour sœur Harmonie, et à eux trois ils font le Monade qui règne dans le monde terrestre, mais ils influent sur celle du monde céleste et réciproquement, de sorte que la sympathie, l'amitié et l'amour les saisissent l'un l'autre de façon à ne plus former qu'un seul.

Car il y a trois Monades comme il y a trois sortes de mondes, trois types d'amours, en conclusion trois types d'Eros, leurs prototypes et androgyne c'est le premier-né que les Orphistes appellent Phanès.

Il y a tant à dire sur les sympathies et les contrariétés. Nous pouvons constater qu'Eros est issu d'un couple plein de contrariété (Mars et Vénus) et que par la suite il est uni à Psyché qui est l'amour vertueux, non attaché au corps.

C'est pourquoi Pausanias fait la distinction entre deux amours et relations sexuelles. Comme il y a deux Aphrodite, d'Aphrodite céleste, plus âgée, née d'Ouranos, et l'Aphrodite née du mâle et de la femelle.

Platon rajoute et compare l'âme humaine par un char tiré par deux chevaux de nature opposée.

Mais passons à la suite car ce sujet est trop ambitieux.

Au chapitre XXII Cornélius fait une transition avec les planètes et les signes du zodiaque, il explique comment les choses inférieures sont soumises aux supérieures et comment le corps humain, les préoccupations des hommes et leurs mœurs proviennent de la distribution des planètes et des signes zodiacaux.

Cela nous explique par analogie qu'il y a des êtres solaires, d'autres lunaires, et qu'ainsi les choses reçoivent plusieurs opérations et propriétés semblables aux opérations des étoiles, auxquelles elles sont soumises.

En disant cela il fait la correspondance que ce qui est solaire fait des effets sur le cœur et sur la tête, parce que le siège ou maison du soleil est le Lion, et le Bélier son exaltation.

Puis il distribue les Planètes et Signes au corps humain un peu à la façon du Sefer Yetzirah, il écrit que :

« suivant la tradition des Arabes, le Soleil préside au cerveau et au cœur, à la cuisse, aux moelles, à l'oeil droit et à l'esprit de vie ».

 

« Les Templiers avaient été chargés de mener des fouilles sous le Temple de Jérusalem, par lesquelles ils ont découvert des richesses incommensurables et des connaissances cachées. Cela peut aider à expliquer l'apparition mystérieuse du Sefer Zetzirah, ce texte qui a contribué à l'émergence du Sepher ha-Bahir.

Les kabbaliste disent que sa provenance vient d'Allemagne, et issu directement de la Palestine, sous une forme extrêmement mutilée. En tous cas Agrippa fut l'un des grands spécialistes de son siècle sur ce genre de sagesse "spirituelle" et théosophique. »

La source majeure des idées d'Agrippa sur la magie était la Kabbale christianisée du pionnier allemand Johannes Reuchlin, c'était presque la seule source de connaissance sur la Kabbale juive disponible à Agrippa en 1510.

Un examen attentif de ces sources révèle aussi la scolastique et la kabbale chrétienne inaugurée par Pic de la Mirandole ainsi que l'influence de l'hermétiste et néo-platonicien Marsile Ficin.

(la Kabbale chrétienne, parfois nommée Kabbale de la Renaissance, consiste à adapter les techniques d'interprétation kabbalistique au christianisme en général et au Nouveau Testament en particulier. Elle avait pour objet principal de montrer l'unité des religions monothéistes)

Ainsi, la Kabbale et ses auteurs formant pour une grande partie la base théorique de sa conception de la magie.

Puis, Cornélius Agrippa continue dans es correspondances et va plus loin que le Sefer Yetzirah, outre qu'il associe les éléments, métaux, plantes et animaux, il distribue les Provinces et Royaumes de ce monde aux Planètes et aux Signes Zodiacaux.

Avant de passer aux douze Signes individuellement il conclut sur les analogies et correspondances (Planètes/Signes), en parlant des caractères des planètes et il leur attribue une marque pour chacune.

Après il parle des signes du Zodiaque un peu de la même manière que les Eléments et les Planètes (en leur donnant des correspondances et en faisant des analogies).

Enfin, il finit de premier livre par un chapitre qui traite des correspondances avec des lettres aux Signes célestes et aux planètes, suivi d'un tableau qui les marque. Ce qui permettra d'ouvrir le deuxième livre.

Agrippa présuppose que la relation entre les symboles (les lettres, mots, nombres, etc...) et les objets du monde qu'ils représentent ne s'appuie pas sur une convention, mais existe de toute éternité dans l'ordre de l'univers.

« Le pouvoir magique des mots et des lettres est par ailleurs plus grand s'il est issu d'une langue ancienne comme l'Hébreu ou le Grec »,

nous dit Agrippa.

Puisque dans de nombreuses langues les lettres servent également à désigner les nombres (comme en hébreu), la mage peut dériver des textes sacrés leur puissance magique endormie.

Le Second Livre se voue presque entièrement à expliquer les rouages d'une telle utilisation grâce à des tables de nombres, des carrés magiques ; etc...

Par l'étude des nombres et des lettres, le mage apprendra à extraire et à utiliser le pouvoir magique des noms.

Fin du « Livre Premier »

Almuric l'Hyperboréen

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