Il est dit dans les plus anciennes traditions que l’univers est contenu dans chacune de ses parties. On s’est aperçu par exemple depuis l’antiquité que le corps humain dans ses rapports intrinsèques était basé sur une répétition lié au nombre d’or.
Dans cette représentation du corps humain due à l’alchimiste Aggripa Von Nettesheim (1486 – 1535) Il est en relation avec les cinq principales planètes et constitue à lui seul un véritable microcosme : il est l’image de l’univers, le macrocosme. Il est parfaitement inscrit dans un pentagone régulier et montre ainsi que ses proportions sont en rapport avec le nombre d’or.
Léonard de Vinci réalisa un dessin similaire où il superpose les deux positions et il cherchera sur chaque corps les correspondances entre différentes mesures.
Le nombre d’or se vérifie dans plusieurs proportions, à commencer par celles définies ci-dessous :
plante des pieds – nombril ; nombril – sommet du crâne = a/b = ф
plante des pieds – genoux ; genoux – pubis = c/d = ф
pubis – sternum ; sternum – base du cou = e/f = ф
base du cou – yeux ; yeux – sommet du crâne = g/h = ф
Cette « divine » proportion semble donc se répéter indéfiniment, reflétant l’harmonie, l’unité et l’indivisibilité de l’ensemble.
Dans la perspective Holographique, il est établi que « chaque partie contient le tout ». Le corps humain est il de nature holographique ? Chacune de ses partie contient-elle l’information de sa totalité ? L’image d’un hologramme est obtenue par un laser traversant une plaque holographique. Si vous brisez un hologramme en plusieurs morceaux, chacun d’entre eux continuera à restituer l’image 3D dans sa globalité. Chaque partie de l’hologramme possède l’intégralité de l’information.
L’idée que tout est en chaque partie, n’est pas étrangère aux médecines traditionnelles et ancestrales. On peut même dire que la nature holographique du corps humain est l’apanage de ces dernières…
Par exemple, concernant l’acuponcture, des planches chinoises datant de 2’000 ans avant notre ère, décrivent ce que les chinois nommaient « le petit homme dans l’oreille ». Ainsi pratiquer l’acuponcture uniquement au niveau de l’oreille permet de soulager voire de guérir toute affection du corps quelle qu’elle soit et où qu’elle se trouve. Ce phénomène qui permet de soigner l’anatomie globale en agissant sur une petite partie de celui-ci est nommé micro-système en acuponcture. Un micro-système est donc comme un fragment d’hologramme en lien avec toutes les parties du corps.
Le Docteur Ralph Alan Dale, directeur du Centre d’enseignement d’acuponcture de Miami consacra 20 ans à la recherche de micro-systèmes. Il découvrit la présence de 18 hologrammes de micro-acupuncture distincts localisés sur les mains, les pieds, la langue, les bras, le coup, etc... Comme pour l’oreille tous renvoient à l’anatomie globale. Le docteur Dale soupçonne en fin de compte que d’autres micro-systèmes existent et n’attendent qu’à être découvert. Il va jusqu’à émettre l’hypothèse que chaque doigt, que chaque cellule comporte son propre micro-système d’acuponcture… A la lumière du fonctionnement holographique de la vie biologique, les conceptions mécanistes et réductionnistes de notre médecine exclusivement matérialiste, font figure de régressions sans précédent dans toute l’histoire de l’humanité. Des techniques récentes de soins s’inspirent de ces découvertes.
La modification de la petite partie du tout, par l’impact d’un événement extérieur ou intérieur, accident, résonance, fatigue, mauvaises conditions de vie, entraîne ipso facto celle du tout. La réharmonisation d’une simple zone-réflexe ou d’un chakra, petite partie du tout, entraîne celle du tout.
L’Ostéopathie Holographique (ou Ostéopathie Douce) aussi appelée Méthode Poyet du nom de son inventeur, possèderait une efficacité hors du commun pour soulager les douleurs du dos, les migraines, la sciatique, les épaules, les hanches et le stress (peur, crispation, fatigue chronique, inhibitions). Son efficience crée une expérience de bien-être qui s’explique par le fait qu’elle tient compte des découvertes récentes en physique. Le corps humain a une structure holographique et la circulation de l’énergie, qui correspond à de l’information dans le corps, se fait parce que les cellules vivantes sont des « oscillateurs ».
Cette méthode de soins permettrait à la fois la réinformation cellullaire et le rééquilbrage énergétique.
Au delà de l’information véhiculée par l’ADN, la cellule serait dotée d’une sorte de « mémoire » de nature holographique. La littérature médicale a récemment commencé à publier le fait que des personnes ayant reçu un organe transplanté signalent des phénomènes étranges après la chirurgie : de nouveaux souvenirs atypiques, des pensées, des émotions et des préférences qui leur sont peu habituelles, c’est-à-dire qui ne semblent pas leur appartenir.
On rapporte un cas d’une donneuse de 19 ans qui fut tuée dans un accident de voiture. La destinataire était une femme de 29 ans souffrant d’une cardiomyopathie consécutive à une endocardite. La mère de la donneuse raconta qu’avant que sa fille ne meure, elle répétait sans cesse qu’elle pouvait sentir l’impact de la voiture qui les avait frappées. Le destinataire de son coeur indiqua qu’elle pouvait en effet sentir l’accident que sa donneuse avait subi (Pearsall et al 2002, p198).
Selon les principes de la médecine Holographique et Quantique, il existerait une mémoire cellulaire qui serait transférée lors des transplantations. Le concept d’organes ayant des émotions et donc des souvenirs, existe depuis des milliers d’années dans la médecine chinoise, mais les chercheurs orthodoxes ont des difficultés à admettre que ce concept puisse être vrai. La théorie du principe holographique est la même que son équivalent oriental antique la théorie du Yin/Yang. Ces concepts sont à la base de la communication cellulaire avec l’esprit et le corps dans l’interaction dynamique. Ce principe holographique prescrit la théorie que « chaque morceau contient le tout » et peut être observé dans la structure cellulaire de tout corps vivant.
Le biologiste Paul Piestch de l’University of Indiana a démontré que si le cerveau d’une salamandre lui était retiré, l’animal restait vivant, mais dans un état de stupeur. Lorsque son cerveau était réimplanté, son activité redevenait normale. La manière doit il était remise n’avait aucune importance… On pouvait en inverser les hémisphères, le placer à l’envers ou ne remettre que des petits bouts, les mélanger, les découper, les retourner, etc... Le batracien se comportait normalement tant qu’une partie de son cerveau était présente, peu importait la configuration !
Le neurophysiologiste américain Karl Pribram s’est demandé comment les souvenirs se stockaient dans la mémoire. Pour démonter cette affirmation qui faisait alors la quasi-unanimité, il s’appuya sur les expériences du neurophysiologiste américain Karl Lashley. Il s’aperçut que, quelle que soit la partie du cerveau d’un rat qui lui était enlevée, le rat était toujours capable d’accomplir les tâches qu’il avait appris à faire avant l’opération. Mais Lashley ne pouvait expliquer comment cette mémoire « toute entière dans chaque partie » fonctionnait. C’est au milieu des années 1960 que Pribram eut une révélation en tombant sur un article du Scientific American décrivant le premier hologramme. Le cerveau serait un hologramme, capable d’emmagasiner d’énormes quantités d’informations dans un très petit espace, de même qu’un seul centimètre cube de film holographique peut contenir jusqu’à dix milliards de bits d’informations. Cette découverte fondamentale allait s’avérer à l’échelle du cosmos sous l’impulsion de David Bohm.
Reste une question « technique », à quels phénomènes ondulatoire le cerveau a-t-il recours pour créer un hologramme interne ? Pour le comprendre, il fallait déconstruire la vision purement mécaniste du cerveau. On sait qu’il existe des communications électriques dans le cerveau entre les neurones. Cette communication doit avoir un caractère global. Les neurones sont extrêmement ramifiés. Lorsqu’un message électrique atteint l’extrémité d’une branche, il doit rayonner un peu comme le fait l’onde d’un caillou projeté dans une mare. Le phénomène ondulatoire est là et les ondes doivent aussi produire des franges d’interférence. Comme le dit Michael Talbot,
« Pribram prit conscience que ces messages devaient probablement donner naissance à un kaléidoscope holographique virtuellement infini de franges d’interférences, lesquelles étaient peut-être à l’origine des caractéristiques holographiques du ce cerveau ».
En quoi le paradigme holographique du cerveau peut-il nous éclairer sur cette relation entre cette forme de pensée et le cerveau ? Incontestablement, il apporte une pièce de plus à un puzzle qui commence à prendre forme, en nous donnant une image complexe et inédite des rapports entre la conscience et la matière. La thèse se formule ainsi :
« le cerveau est un hologramme enveloppé dans un univers holographique ».
Le cerveau construit mathématiquement une réalité objective par l’interprétation de fréquences qui relèvent en dernière analyse d’une autre dimension dans laquelle nos concepts d’espace-temps-causalité perdent leur validité.
Les travaux de Carl Pribram tendent à prouver que l’univers est un hologramme perçu par un autre hologramme qui est notre cerveau, et que la mémoire est contenue dans toutes ses cellules sans qu’il existe de zones spécifiques qui puissent être qualifiées de « zones mémorielles ». On peut encore aller plus loin que lui : ce sont toutes les cellules de notre corps qui se souviennent, toutes les particules composant les atomes composant nos cellules qui se souviennent.
Le modèle holographique serait tout à fait pertinent pour rendre compte du phénomène de perception du « membre fantôme ». Comment l’amputé pourrait-il sentir une douleur au pied, alors qu’il n’a plus sa jambe ? Or, justement,
« la caractéristique essentielle d’un hologramme est de créer l’illusion de choses là où il n’y a rien. S’il donne l’impression de se déployer dans l’espace, la main qui cherche à le saisir ne rencontre que du vide ».
En effet,
« l’hologramme est une image virtuelle donnant l’impression d’exister en un lieu où elle n’est pas. »
Il n’est donc pas étonnant que nous puissions, comme le prix Nobel Georg von Bekesy l’a démontré, avoir des sensations là où nous sommes dépourvus de tout récepteur sensoriel. Il faut reconnaître que le travail de Bekesy conforte très largement le modèle de Pribram. Il s’agit, dans le cas du membre fantôme, d’un souvenir holographique du membre absent, tel qu’il est enregistré dans les systèmes de franges d’interférence du cerveau.
L’idée que nous pouvons penser avec nos coeurs n’est plus seulement une métaphore, mais est, en fait, un phénomène très réel. Nous le savons à présent car la recherche combinée de deux ou trois disciplines prouve que chez l’être humain le coeur est le centre majeur de l’intelligence. Les biologistes moléculaires ont découvert que le coeur est la glande endocrine la plus importante du corps. En réaction à notre expérience du monde, il produit et libère une hormone importante, FNA (Facteur Natriurétique Auriculaire), qui affecte chaque opération dans la structure limbique que nous appelons aussi le cerveau émotionnel. Cela inclut la région de l’hippocampe où s’effectuent la mémoire et l’apprentissage, et aussi les centres de contrôle pour le système hormonal tout entier.
Les neurocardiologistes ont constaté que 60 à 65 % des cellules du coeur sont en fait des cellules neuronales et non des cellules musculaires comme on le croyait auparavant. Elles sont identiques aux cellules neuronales du cerveau, opérant à travers les mêmes liens de connections, les ganglions, avec les mêmes connections axonales et dendritiques, et les même sortes de neurotransmetteurs qui se trouvent dans le cerveau. Autrement dit, tout à fait littéralement il y a un cerveau (Shen) dans le coeur, dont les ganglions sont reliés à chaque organe important du corps, au système entier du fuseau musculaire qui permet aux humains d’exprimer leurs émotions de façon unique.
Environ la moitié des cellules neuronales du coeur sont impliquées dans la traduction des renseignements envoyés de partout dans le corps afin d’assurer un fonctionnement harmonieux de l’ensemble. Et l’autre moitié constitue une très grande connexion neuronale directe avec le cerveau émotionnel de notre tête et poursuit vingt quatre heures par jour un dialogue entre le coeur et le cerveau dont nous-mêmes sommes inconscients (Mercogliano et Debus 1999). Le coeur répond aux messages envoyés par le cerveau émotionnel (structure limbique), qui s’occupe de contrôler l’environnement interne des états dynamiques, comme les émotions et le système auto-immunitaire, en guidant notre comportement et contribuant à notre sens d’identité personnelle.
Le cerveau émotionnel fait une évaluation qualitative de notre expérience de ce monde et envoie cette information au coeur, instant après instant. En échange le coeur exhorte le cerveau à produire la réponse appropriée. Autrement dit, les réponses du coeur affectent le système humain entier (Mercogliano et Debus 1999). Selon la théorie du Yin et du Yang, chaque organe (Zang) loge aussi l’essence de l’émotion de tous les autres organes et de l’esprit à l’intérieur du corps. Par exemple, le coeur dans la Médecine Traditionelle coeurhinoise loge le Shen (l’esprit) et est l’organe qui contrôle tout le Zangfu car il loge aussi la graine ou l’essence du reste du Zangfu et du corps dans son l’ensemble. Cela correspond à la théorie de Maciocia selon laquelle l’esprit (et donc le coeur) peut sentir les émotions. *
Selon l’enseignement des Wingmakers, Votre cœur énergétique fonctionne à plusieurs niveaux comme un hologramme, ce qui veut dire qu’il embrasse les dimensions de la vie qui vont de l’environnement mondain, dense et tridimensionnel, jusqu’aux dimensions mystiques et divines de la Source Première. Selon sa fréquence énergétique primordiale, il est couplé avec la grille de l’Amour universel, qui interpénètre toutes dimensions et toute vie. À ce niveau, le cœur bat à l’intérieur de l’âme, de la même façon que son rythme vibre au travers du corps, électromagnétiquement.
(Note 4 : Le champ électromagnétique du cœur est toroïdal dans sa structure et environ 50 fois plus intense que celui du cerveau. Il rayonne jusqu’à une distance de 4,50 mètres du corps.)
Le cœur de l’âme humaine vibre en accord avec le Coeur de la Source Première. Souvenez-vous : nous sommes créés à l’image de notre Créateur. À l’intérieur de ce Cœur des cœurs réside l’influx grâce auquel nous vivons et bénéficions de la Vie. C’est de cet endroit que nous avons été détournés, nos attentions divisées en un millier de directions, nous amenant à oublier notre intelligence du cœur et notre pouvoir de l’utiliser.
Peu nombreux sont ceux qui ont compris comment parvenir à l’intérieur de leur cœur énergétique et comment activer ses transmissions, afin de les diffuser, via les capacités innées de l’organisme humain. Le cœur est souvent considéré comme subordonné au mental-cerveau et confondu avec le siège des émotions. En réalité, il n’existe pas de force plus stable à l’intérieur de l’instrument humain que celle du cœur, ni de source de perception plus intelligente.
Dans les temps anciens, le cœur était considéré comme le siège de l’âme, la porte entre le monde mental et le monde spirituel. Au cours des 300 dernières années, la science l’a progressivement réduit à un rôle de pompe mécanique, à un mécanisme de distribution du sang et rien de plus. Quant aux métaphysiciens, ils l’ont installé dans les fréquences émotionnelles du plan astral. Ils soutiennent que le cœur ne possède pas d’intelligence propre et qu’il est entièrement gouverné par l’intelligence du mental.
Tant que l’intellect demeurera dominé par l’ego, il continuera à postuler que le cœur est son instrument, alors qu’il serait en fait bien plus juste de présenter l’intellect comme un instrument du cœur. Le temps vient rapidement où l’intelligence du cœur sera à juste titre comprise comme la source première de la connexion humaine à l’Intelligence Divine de Notre Créateur. Il deviendra alors le miroir dans lequel l’humanité pourra contempler en haute résolution les merveilles de l’âme humaine.
La Vie du Créateur s’écoule à travers nous sous la forme de l’Amour. Elle entre en nous, dans notre cœur énergétique, puis « voyage » à travers notre corps. Quand elle atteint notre cerveau, elle libère des hormones à travers notre système sanguin, ce qui, au cours du temps, stimule notre évolution. Sentez ce processus. Soyez conscient qu’il est en train de se dérouler. Co-créez consciemment cet événement. Et lorsque vous le faites, laissez-le s’accomplir à travers cette simple prière :
« Que cette Vie qui vient à moi s’écoule à travers moi ! »
Il y a une sagesse ancienne qui a été perdue au cours du temps et que nous devons retrouver. Elle dit :
« Le cœur est l’endroit que nous devons chaque jour examiner car c’est là que nous nous trouvons. »
A l’Institut HeartMath de Doc Childre, (son fondateur), on prend en compte les développements scientifiques suivants :
Selon les recherches de l’Intitut HeartMath a également pour but extrêmement intéressant, d’installer des capteurs sur tout le globe, de les relier en réseau, pour enregistrer les variations des champs EM, d’apprécier le rôle de groupes humains agissant de façon cohérente via leurs pratiques du coeur mesurées grâce à un logiciel et/ou un capteur de poche apte à réguler une dynamique harmonieuse de l’activité cardiaque.
D’une perspective holographique (ainsi qu’avec le Yin et le Yang) toutes les émotions et les esprits rattachés à l’esprit (Zang) du donneur, surtout les fortes émotions finales de la blessure qui avait causé sa mort, ont été transplantées à travers les cellules du coeur. Maciocia (1993, p11) continue en expliquant que les émotions affectent tous les autres organes aussi, mais que seul l’esprit les reconnaît réellement et les sent. Ainsi seul le coeur peut les sentir parce qu’il loge le Shen (l’esprit), qui est responsable de l’intuition. Ceci est un compte rendu exact du coeur. Cependant, du point de vue holographique/Yin-Yang, le coeur contient l’essence de toutes les émotions logées dans le corps.
L’être humain est ainsi vu comme un organisme multidimensionnel composé de systèmes physiques/cellulaires dans une dynamique réciproque avec des champs de contrôle énergétiques complexes (Gerber 1996, p68). Si chaque cellule contient 99.999 % d’énergie alors une cellule est essentiellement de la lumière. Le coeur permet à la cellule de contenir la graine de l’ensemble de l’organisme, comme dans le principe holographique. Si un coeur est transplanté, la mémoire au niveau cellulaire et au niveau spirituel, le Shen, sera déplacée avec l’organe.
« Le coeur est le souverain de tous les organes et représente la conscience de l’être. Il est responsable de l’intelligence, du bon sens et de la transformation spirituelle » (Maoshing 1995, p34).
Une analogie serait celle d’un ordinateur. Les Zangfu sont le hardware, les émotions et les systèmes de conviction sont les logiciels, l’esprit ou le Shen sont le système d’opération et le cerveau le microprocesseur…
Les biophysiciens ont découvert que le coeur est aussi un générateur électromagnétique très puissant. Il crée un champ électromagnétique qui englobe le corps et s’étend de 2 à 3 mètres. Il est si puissant que vous pouvez lire un électrocardiogramme jusqu’à un mètre de distance du corps. Le champ que le coeur produit est holographique, ce qui signifie que vous pouvez le lire à partir de n’importe quel point sur le corps ou à l’intérieur du champ (Mercogliano et Debus 1999). Peu importe la taille de l’échantillon, vous pouvez recevoir les renseignements du champ entier.
La chose fascinante est à quel point ce champ électromagnétique affecte le cerveau. Tout indique qu’il fournit l’ensemble du spectre d’ondes radio dont le cerveau tire ses renseignements pour créer notre expérience interne du monde. Peut-être de manière plus importante, nous savons à présent que le spectre radio du coeur est profondément affecté par notre réponse émotionnelle au monde. Notre réponse émotionnelle modifie le spectre électromagnétique du coeur, dont se nourrit le cerveau. Finalement, tout dans nos vies s’articule autour de notre réponse émotionnelle à des événements spécifiques (Mercogliano et Debus 1999).
Les dernières recherches réalisées démontrent que le patrimoine héréditaire (code génétique) n’est pas seulement conservé en tant que substance biochimique d’un gène, mais sous la forme d’une « structure de champ » ou « structure quantique ». Qui plus est, cette structure quantique, porteuse de l’information génétique, est organisée sous la forme d’un hologramme. (Or l’hologramme possède une qualité prodigieuse et exceptionnelle, à savoir que chacune de ses parties contient l’information de la totalité. Ainsi, nous pouvons comprendre les raisons qui font que la cellule porte en elle l’information relative à la totalité de l’organisme vivant. Il faut, comme nous le savons parfaitement en physique quantique, pour créer un hologramme et pour l’alimenter, disposer d’une source d’émission de lumière cohérente (radiation cohérente de type laser) ! Où pourrait-elle bien se trouver dans la cellule vivante, cette source d’émission ? Les savants russes GOURVITCH, LUBITCHEV, BECLEMICHEV, GARIAEV ont réussi à prouver que certaines molécules comme l’A.D.N. fonctionnent dans l’organisme selon le principe des émetteurs de lumière cohérente.
Outre sa finalité de conserver le patrimoine génétique, toute cellule possède donc la capacité de transmettre, de traiter (à la façon d’un ordinateur) et même de régénérer une information perdue, sans oublier la capacité première qui est de réaliser le programme de développement mémorisé, en appliquant strictement l’enchaînement programmé des transformations énergético-informationnelles dans un espace et dans un temps définis (ce dont les vols spatiaux se sont inspirés !). Aujourd’hui beaucoup de chercheurs en arrivent à reconnaître le fait que les chromosomes utilisent des émissions de la gamme des UHF et HF (ultra-hautes et hyper-fréquences), des champs de lumière laser et des champs acoustiques pour la transmission, le traitement et la régénération de données biologiques.
Il existe une mémoire cellulaire porteuse de l’intégralité des informations du corps global. La compréhension de la nature holographique du corps humain, de la nature multidimensionelle du corps humain, mais aussi du rôle central du coeur, ouvre des champs d’exploration pour comprendre des phénomènes complexes de nature psychosomatique et permettre d’optimiser la guérison. Au delà de cet aspect matériel, la nature holographique du corps humain nous replace dans la dimension holographique de l’Univers. Dans son livre « Aux frontières de l’Univers », le philosophe Ervin Laszlo (1992) prend le modèle de l’hologramme pour décrire l’univers :
« Les propriétés de la conservation holographique signifient que, si le champ universel était un support holgoraphique, ce champ enregistrerait TOUS LES ÉVÉNEMENTS QUI SE SONT PRODUITS DANS L’UNIVERS. Toute l’information enregistrée par ce champ serait serait susceptible d’être retrouvée partout et à tout moment ».
Cela rejoint la théorie de la relativité complexe de Jean-Étienne Charon et celle des champs morphogénétiques de Sheldrake. La pensée duelle nous empêche de voir la nature réelle de l’univers en mettant des séparations là où il n’y en a pas. Mais cela ne veut pas dire que la conscience soit étrangère et coupée du réel.
Sans vouloir forcer les similitudes entre les croyances du passé et les découvertes de la science, comment ne pas penser aux théories de Freud et de Jung, qui avaient entrevu la possibilité que tous nos faits et gestes soient enregistrés en un lieu et un temps mal définis où notre inconscient puiserait les informations ?
Ce modèle holographique nous amène à penser que la conscience est une forme subtile de la matière (ou le contraire), sans qu’il soit possible de tracer une frontière précise entre les deux. Tout au plus un niveau énergétique différent. En 1987, le physicien canadien David Peat soutint que la synchronicité – des coïncidences insolites et si riches de sens qu’elles ne peuvent résulter du seul hasard – trouve son explication dans le modèle holographique. Elle trahirait des processus de pensée infiniment plus connectés que nous ne le soupçonnons. Ce modèle holographique servirait donc à expliquer à la fois la nature physique, les perceptions, mais également la conscience et certains phénomènes dits « inexpliqués »…
Sources consultées :
Concernant les études sur le coeur :
When you subscribe to the blog, we will send you an e-mail when there are new updates on the site so you wouldn't miss them.
En poursuivant votre navigation, vous acceptez le dépôt de cookies tiers destinés à vous proposer des vidéos, des boutons de partage, des remontées de contenus de plateformes sociales. En savoir plus
Ce site utilise des cookies pour assurer son bon fonctionnement et ne peuvent pas être désactivés de nos systèmes. Nous ne les utilisons pas à des fins publicitaires. Si ces cookies sont bloqués, certaines parties du site ne pourront pas fonctionner.
Ce site utilise des cookies de mesure et d’analyse d’audience, tels que Google Analytics et Google Ads, afin d’évaluer et d’améliorer notre site internet.
Ce site utilise des composants tiers, tels que NotAllowedScript6751ac045378cReCAPTCHA, Google NotAllowedScript6751ac04533dcMaps, MailChimp ou Calameo, qui peuvent déposer des cookies sur votre machine. Si vous décider de bloquer un composant, le contenu ne s’affichera pas
Des plug-ins de réseaux sociaux et de vidéos, qui exploitent des cookies, sont présents sur ce site web. Ils permettent d’améliorer la convivialité et la promotion du site grâce à différentes interactions sociales.
Ce site web utilise un certain nombre de cookies pour gérer, par exemple, les sessions utilisateurs.
Commentaires