La pyramide possède t’elle des propriétés énergétiques ? C’est ce qu’on peut lire dans de nombreux manuels d’ésotérisme. Depuis l’Antiquité, elle représente  la plus reculée le meilleur rapport entre force et équilibre. Elle confirme que les Anciens possédaient la connaissance des lois fondamentales de l’univers et avaient eu accès au monde des énergies subtiles. Utilisée par différentes civilisations dans différentes régions du monde, elle peut avoir deux développements très différents : la forme traditionnelle que l’on retrouve en Egypte et en Chine s’oppose à la pyramide en cône tronqué connue surtout en Amérique centrale et du Sud.
Ces deux développements revêtent une grande importance, car le résultat énergétique est totalement différent.
 
LES ENERGIES DE LA PYRAMIDE
La radiesthésie (mais également la kinésiologie) peut prouver le rôle important joué par les pyramides au niveau énergétique. Dans ce cas, il ne s’agit pas d’énergies connues, mesurables par des instruments normaux, mais d’énergies subtiles que l’on ne peut déceler que par voie radiesthésiste ou par les effets qu’elles ont sur l’environnement ou les êtres vivants. Ces effets peuvent être étudiés en laboratoire avec des modèles de différents types (avec des matériaux qui en représentent uniquement la structure et avec des parois ouvertes, ou bien avec des structures et des parois pleines). En outre, les résultats obtenus sont répétables et à chaque fois identiques. La pyramide agit à l’égard de l’énergie comme un amplificateur, comme un’accumulateur ou comme un blindage puissant, selon la manière dont elle est positionnée dans l’environnement.
 
EMISSIONS PROPRES DE LA PYRAMIDE
La physique microvibratoire nous explique que la pyramide émet des ondes de forme qui lui sont propres (voir Thèmes : Ondes déforme) et qui sont substantiellement négatives pour la matière vivante. Or ce phénomène s’avère lorsque la pyra-mide est positionnée selon un certain schéma prenant comme référence les points cardinaux.
Cela constitue une preuve que les ondes de forme sont la résultante de l’interaction entre la structure géométrique d’un objet et le champ magnétique terrestre, qui est capturé par celle-ci, « informé » et émis à nouveau, avec des caractéristiques propres. La pyramide la plus connue, reproduite plus de soixante fois dans l’Egypte pharaonique après une période d’élaboration (voir la pyramide de Joser) est celle qui est dotée, dans sa partie supérieure, du pyramidion classique (appelé ben ben).
Si elle est positionnée avec les quatre faces tournées vers les quatre points cardinaux, elle n’émet pas d’ondes de forme et conserve toutes les émissions énergétiques à l’intérieur de sa structure.
Cela signifie que si elle est posée au-dessus d’un nœud géopathogène, l’influx négatif est bloqué et ne sort pas.
Des relevés radiesthésistes effectués à l’intérieur de la pyramide de Khéops (ainsi que dans d’autres pyramides du même type) ont révélé que les réseaux énergétiques qui entourent le globe, tels que le réseau de Curry et celui d’Hartmann, ne sont pas présents à l’intérieur de la pyramide. Une orientation différente de ce type de pyramide provoque toutefois des émissions d’un type différent.
 
Plusieurs cas peuvent se présenter :
1) outre le fait que les faces sont tournées vers les points cardinaux ;
2) la pyramide peut se trouver orientée avec les sommets du carré de la base vers les quatre points cardinaux : dans ce cas il n’y aura pas d’ondes de forme émises mais, quel que soit le type d’énergie présent à l’intérieur de la pyramide (positive ou négative) elle sera dégagée librement vers l’extérieur ; 3) la pyramide est désaxée par rapport aux deux solutions précédentes : non seulement elle libérera l’énergie qu’elle (ou le lieu où elle se trouve) émet normalement mais elle irradiera également des ondes de forme négatives qui lui sont propres.
 
LA PYRAMIDE TRONQUÉE
La pyramide tronquée, caractéristique des structures pyramidales de l’Amérique centrale (civilisation aztèque) ou du Sud, présente les mêmes caractéristiques que la pyramide traditionnelle positionnée avec les sommets de la base orientés vers les quatre points cardinaux, ne bloquant par conséquent aucun type d’énergie.
En outre, elle émet vers le haut l’énergie présente en elle.
Il est intéressant de réfléchir sur le rôle des pyramides d’Amérique centrale. En effet, sur les terrasses placées à leur sommet étaient sacrifiés des êtres humains (des milliers et des milliers chez les Aztèques). Or, la pyramide tronquée a la capacité de recueillir l’énergie sous-jacente (par exemple géotellurique provenant du milieu environnant) et de la projeter vers le haut, où se trouvaient généralement les victimes sacrificielles. Dans ce cas, les prêtres sont généralement représentés soit complètement nus (ils entrent en interaction positive avec l’énergie du lieu) soit lourdement revêtus (ils doivent se protéger contre un milieu hostile) tandis que les victimes sont toujours nues (choisies selon la polarité appropriée). Leur sacrifice libère de l’énergie et entre en interaction comme un catalyseur entre les influx négatifs recueillis dans l’environnement et projetés vers le haut et l’influx positif du champ énergétique rappelé du haut vers le bas, pour assurer une neutralisation des opposés et une amélioration énergétique environnementale.
 
QUELQUES RECHERCHES RECENTES …
Selon le Dr Philip Callahan, de granit rose – qui a été utilisé dans la construction de la Chambre des Rois de la Grande Pyramide – est l’une des substances les plus paramagnétiques. Il a mesuré le calcaire, qui a couvert la Grande Pyramide, est diamagnétique ». Paramagnétique se dit d’une substance qui acquiert une aimantation de même sens que le champ magnétique dans lequel on la plonge, mais qui perd cette aimantation lorsqu’on la sort du champ.Si le moment magnétique résultant est nul : le matériau est diamagnétique. Lorsqu’on le soumet à un champ magnétique extérieur, il réagit faiblement en créant un champ magnétique contraire ( ceci est dû à la déformation des nuages électroniques ). Le cône de forme et de la forme pyramidale sont souvent considérés comme l’équivalent d’énergie. Les deux sont dits pour générer un champ de spin de l’apex.
 
Vous pouvez voir ici une photo Kirlian montrant le tourbillon d’énergie en double hélice sortant du sommet de la pyramide.
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Légendes : Mary et Dean Hardy de Allegan dans le Michigan. Les Hardys ont pris une pièce d’or et l’ont suspendue à la Chambre du Roi niveau d’une Grande Pyramide réplique grandeur nature. Après un certain temps la pièce en or a présenté des gouttes d'« huile » à sa surface. Un autre expérimentateur a reproduit cette expérience avec une autre pyramide. Cette expérience reprend les travaux du Dr Dee Nelson de 1979.
Le Tesla Coil ou bobine Tesla est placé au niveau de la Chambre du Roi. Il se compose de deux ou parfois trois circuits électriques couplés en résonance. Ce mécanisme fut inventé par le scientifique américano-serbe  Nikola Tesla autour de 1891. Il est généralement utilisé pour produire un courant d’électricité de très haute tension,faible, et de haute fréquence en courant alternatif.
 
Joshua Gulick suggère que la pyramide est le « feu secret » des alchimistes. Il affirme qu’il a utilisé ce feu secret pour dissoudre l’or métallique dans l’alchimique de l’or et que cette huile de l’or a séché, tout d’abord en une poudre blanche, puis une poudre rouge. Ces produits de l’or sont bien décrits dans la littérature alchimique comme des étapes vers la pierre philosophale. Selon Joshua : « Le grand secret de l’alchimie est ce qu’on appelle le « feu secret », quelque chose qui peut, au fil du temps, dissoudre l’or en une poudre blanche. Il est dit que l’ensemble du processus est complété par ce « au feu » sans interaction humaine. Il est également dit que le processus est « un jeu d’enfant », et ça l’est vraiment. Le secret du feu qui dissout l’or est une énergie émise par une forme pyramidale. Pas très étonnant, le mot « pyramide » est traduit par « feu au milieu ».
J’ai utilisé [...] une pièce d’or suspendu au milieu d’une pyramide de huit pieds de haut et de sections de tube en cuivre qui forment une image pyramidale. La pièce exsude un liquide qui sèche en une poudre blanche. Il ne s’agit pas de condensation comme la pièce est à la température de l’air et l’humidité est faible. J’ai nettoyé la pièce, et le liquide / poudre réapparaît. Ce n’est pas une propriété signalé normalement de l’or, mais il est tout à fait cohérent avec la première étape du processus alchimique, obscurément liés dans les textes que j’ai étudiés. »
 
Selon d’autres auteurs, c’est cette forme d’énergie qui a été utilisé pour faire léviter des blocs de pierre lors de la construction des pyramides.
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Selon les auteurs du livre « Pyramid Energy » la photo ci-dessus appelée Bobine Caducée a été utilisée pour faire léviter des blocs de pierre qui ont été utilisées pour construire les pyramides. Les chemins ont été construits, flanquée de rangées de sphinx, le long de laquelle un circuit appelé solitron créait un vortex en spiral, et était alimentée par des bobine générateurs.
 
Deux antennes entre lesquelles un « vortex » faisait léviter les pierres.
Les prêtres égyptiens utilisant ces bobines utilisées, un passif (sur la gauche) et un actif (à droite). La bobine active été reliée à la terre sur des « points sacrés » et prenait donc sa source dans le réseau énergétique planétaire. La raison pour laquelle les scientifiques d’aujourd’hui ne peuvent pas dupliquer cette prouesse est simple, car « ils n’ont pas étudié la source d’alimentation appelé grille électromagnétique terrestre ». Hardy & Killick expliquent plus en détail : 
 
« Les anciens ont utilisé ce réseau pour parvenir à la lévitation et à la communication dans le monde entier. C’est la raison pour laquelle des pyramides se trouvent dans le monde entier. La pyramide de Kheops en Egypte est générateur d’une bobine et a été construit pour puiser dans la grille de la Terre. Le panneau de contrôle principal de cette grille a été l’arche de l’alliance. » [Hardy & Killick, Pyramid Energy, p. 165. p. 169]
 
QUELQUES EXPERIENCES AVEC LES PYRAMIDES 
Comment se fait-il qu’une simple pyramide de carton aiguise une lame de rasoir usagée ? Ou parvienne à momifier un morceau de viande placé à l’intérieur ? Pourquoi certains volumes émettent-ils une énergie d’origine inconnue et cependant mesurable ? C’est toute l’énigme des « ondes de forme », et des curieux phénomènes dont elles paraissent responsables qui se pose là. Un mystère que la science voudrait bien expliquer et dont certaines civilisations de la haute Antiquité avaient peut-être percé le secret… Dans le dossier n° 91304, au Bureau des inventions de Prague, il y a la description d’un appareil bien insolite qui est prosaïquement décrit sur la page de garde comme l’ustensile à usage d’aiguisoir de lames de rasoir. Le système a été déposé en 1959 par un ingénieur du nom de Karel Drbal, bien connu en Tchécoslovaquie parce qu’il y fut, entre autres, responsable de la création du réseau national de télévision. L’aiguisoir est décrit comme une pyramide de carton ou de plastique qui mesure 23,40 cm de côté sur 15,10 de hauteur. Elle comporte une base carrée, amovible. sur laquelle on la pose comme une cloche. Sur cette base sont dessinées les médianes, et à leur intersection se trouve un petit parallélépipède de la taille d’une boîte d’allumettes. Il est spécifié que les dimensions de ce dernier n’ont pas une importance capitale mais qu’elles ne doivent toutefois pas excéder 6.50 cm de hauteur. L’idéal est 5 cm. ce qui correspond au tiers de la pyramide.
 
Pour utiliser le système. il faut une boussole. car on oriente la pyramide de façon que l’une des médianes se trouve très exactement sur un axe nord-sud. Il est aussi indispensable de procéder à distance de tout appareil électrique ou électromagnétique. La lame de rasoir émoussée est posée sur le socle de 5 cm, les tranchants tournés face à l’est et à l’ouest. On place la pyramide sur sa base au-dessus de la lame et on attend six jours. La lame est affûtée. Drbal prend soin de préciser que, par la suite, il suffit de la remettre dans la même position sous la pyramide pour qu’elle retrouve son fil du jour au lendemain ! Ce qui est incroyable, c’est que ça fonctionne sans que l’on puisse expliquer pourquoi ni comment !
Ce n’est bien sûr qu’une hypothèse. déclare l’ingénieur tchèque. Mais il semble que toute évolution chimique, physique, biologique de la matière se produisant dans un espace donné varie en fonction de la forme de cet espace. Pourquoi ? On l’ignore tout à fait. Mais force est de constater qu’en utilisant des formes appropriées, la pyramide, en l’occurrence, on accélère ou on ralentit le processus… Pourquoi la Pyramide ? Et plus particulièrement, dans le cas de l’aiguisoir de Prague, à l’échelle de celle du pharaon Chéops, en Egypte ?
 
Modestement, Drbal, dans ses Mémoires, avoue ne pas être tout à fait à l’origine de la découverte. Au début des années cinquante, raconte-t-il, un touriste français (mais oui), M. Bovis, visite la pyramide égyptienne. Dans la chambre mortuaire, un fait l’intrigue. L’humidité y est grande, et pourtant des cadavres de chats, d’insectes et de rongeurs, sans doute morts après avoir pénétré et s’être perdus dans les galeries, n’ont pas pourri, ils se sont littéralement momifiés. Bovis se demande alors si l’architecture même du tombeau ne serait pas pour quelque chose dans le phénomène. Il se dit que les prêtres égyptiens possédaient sans doute des connaissances que nous ne pouvons pas soupçonner sur les propriétés de certaines matières, de certaines formes ou de certaines lignes de force capables de modifier un processus naturel comme celui de la décomposition des matières organiques…
 
( …) Enel et lui-même parvinrent à la conclusion que toute la statuaire, l’architecture et même le graphisme de certaines civilisations de l’Antiquité obéissaient à ces lois des émissions de forces. Lignes, volumes, disposition, orientation…, tout était calculé pour générer un équilibre idéal, une intégration parfaite dans l’espace de certains lieux et de certains hommes privilégiés…Une science perdue ou volontairement occultée ? Une science ou une magie mais ne se rejoignent-elles pas quelque part ? Qui aurait donné le Nombre d’or des plus grands monuments sacrés de jadis ? Le mathématicien Ravatin et son organisme de recherches, le groupe Ark’All, se demandent si ces formes d’énergies inconnues ne jouent pas avec des structures du continuum autres que celles prises en compte par notre science d’aujourd’hui. Avec les émissions d’énergies dues aux formes, conclut le célèbre parapsychologue soviétique Sergueïev, sans doute irions-nous beaucoup plus loin, si nous en savions davantage, qu’avec toute notre électricité et notre nucléaire. Il y a certainement des raisons pour que ces connaissances se soient…perdues. Malgré tout, peut-on, quotidiennement, utiliser ces ondes de forme ?
 
Le docteur Serge V King est un des plus grands spécialistes au monde des pyramides et autres structures propres à émettre des « ondes de forme ou de force », qu’elles soient positives ou négatives. N’ayant aucun intérêt immobilier dans l’affaire Onan pas plus qu’ailleurs, son propos est donc uniquement scientifique. Voici écrit-il dans l’introduction de son livre Pyramidal Energy Book (« Manuel de l’énergie des pyramides » en français) une liste de ce que la pyramide est susceptible d’accomplir. L’ordre n’est pas préférentiel (et la liste n’est pas complète) :
 
  Aiguiser les lames de rasoir et la coutellerie ;
  Adoucir le café, le thé et le tabac ;
  Donner à l’eau du robinet un goût d’eau de source ;
  Stimuler la croissance des plantes ;
  Accélérer le temps de germination des graines ;
  Conserver la nourriture ;
  Rehausser les saveurs naturelles ;
  Faire mûrir les fruits et les légumes ;
  Retarder la croissance des algues et empêcher celle des bactéries ;
  Améliorer la réception de la radio et de la télévision ;
  Recharger les batteries ;
  Augmenter la conscience et rendre la relaxation plus profitable ;
  Stimuler le processus de guérison et alléger la douleur ;
  Rendre et enlever la ternissure ;
 
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