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Poltergeists

Poltergeists
« Certains états psychiques sont tels [dans les poltergeist] qu'il y a interférence avec la pesanteur, la lumière, les ondes sonores, les odeurs, les états différents de la matière. »
Jean Michaux, écrivain
 
 
Bien plus agressifs que les fantômes, les poltergeists peuvent s'attaquer aux biens comme aux personnes. Plusieurs cas attestent de la réalité de ces « esprits frappeurs ». Pouvoir de l'esprit ou pouvoir des esprits ?
 
Les premières anomalies surviennent au mois d'août 1992 : dans la pavillon préfabriqué où vivent les Griggs, à Portsmouth (Angleterre), les meubles commencent à changer de place tout seuls. Puis – signes classiques de troubles liés à des poltergeists, ou « esprits frappeurs » - des odeurs nauséabondes et des bruits venus de nulle part s'installent dans la maison. Une pièce du rez-de-chaussée semble être le centre des manifestations. La famille, effrayée, l'évite. b2ap3_thumbnail_jasmin-griggs.jpgEn désespoir de cause, Mme Griggs fait appel à un prêtre et à un médium. Les deux hommes s'accordent sur l'origine des phénomènes : selon eux, la petite Jasmin Griggs est apparemment possédée par l'esprit d'un précédent locataire...
 
L'hypothèse se confirme le jour où Jasmin commence à s'exprimer par de rauques intonations d'adultes. Régulièrement, la fillette répond à sa mère avec des accents gutturaux, proches du parler du nord de l'Angleterre. On fait alors appel à deux autres médiums qui parviendront à identifier la « présence » d'un homme nommé Percy, justement originaire de cette partie du pays.
 
Surmontant le désespoir que suscite l'ignoble emprise qui s'exerce sur sa fille, la courageuse Mme Griggs va retrouver des forces dans l'action : elle soumet aux autorités locales les conclusions émises par les spécialistes du paranormal appelés à la rescousse. Elle refuse notamment de payer son loyer tant que les nuisances occasionnées au foyer familial ne seront pas « réparées ». Sa requête est toujours en cours d'examen...
 

L'hypothèse de la psychokinésie

 
Les esprits frappeurs ne sont pas un phénomène nouveau. Un cas a été signalé en Chine aux alentours de l'an 900 de notre ère. Une autre affaire, plus lointaine encore, eut pour cadre l'ex-Empire romain, en 530 après J.C. Plus près de nous, un phénomène de poltergeist anima la dernière rencontre entre Sigmund Freud et son disciple Carl Jung.
 
b2ap3_thumbnail_sigmund-freud-and-carl-jung.jpgLes deux hommes s'étaient réunis en tête à tête, dans la demeure viennoise de Freud, pour tenter une dernière fois d'accorder leurs points de vue au sujet de l'inconscient. Loin de parvenir à un compromis, leur rencontre devint houleuse et même orageuse. Les deux génies en venaient aux invectives et aux anathèmes quand leurs échanges furent brusquement interrompus par des coups violents, frappés contre le mur qui les séparait de la bibliothèque. Interloqués, ils allèrent voir de quoi il retournait, mais ils ne trouvèrent personne dans la pièce voisine. Jung, qui croyait aux phénomènes occultes – notamment à la psychokinésie et à la réincarnation – considéra cet incident comme une manifestation psychokinétique spontanée. Freud refusa toute explication parascientifique : ce débat, qui fut le dernier entre les deux psychologues, consomma non seulement la rupture entre le maître et l'élève, mais ouvrit également deux courants opposés dans l'histoire de la psychanalyse.
 
Le terme de « poltergeist » - un mot d'origine allemande signifiant « esprit bruyant » - est très approprié pour désigner un phénomène s'accompagnant fréquemment de bruits aussi forts qu'étranges. Principale différence entre les poltergeists et les fantômes : dans le premier cas, le phénomène s'attache généralement à une personne plutôt qu'à un lieu. Là où se déplace la personne « épicentre », l'activité poltergeist suit. Plus précisément, ces phénomènes d'esprits frappeurs sont souvent reliés à une personne jeune, de sexe féminin, généralement dans une situation de stress.
 
Andrew Green, célèbre enquêteur dans le domaine du paranormal, connaît bien ce lien entre l'activité poltergeist et les jeunes personnes. Il considère néanmoins, à la lumière de ses nombreuses investigations, qu'il n'y a pas d'explication passe-partout. Il est convaincu que l'activité poltergeist relève en fait de la psychokinésie, c'est-à-dire la capacité de déplacer les objets et de produire des bruits par la seule pensée. Andrew Green soutient que ces phénomènes peuvent être générés inconsciemment par des personnes des deux sexes, dès l'âge de 3 ans jusqu'à la fin de la quarantaine. Le plus souvent, on relève un traumatisme psychique chez le sujet. Pour étayer cette thèse, Green cite l'un des cas sur lesquels il a enquêté : l'affaire Johnson.
 

Le moine-fantôme

 
Les époux Johnson s'inquiètent de l'étrange comportement de leur garçon, âgé de 4 ans. L'inquiétude grandit au point de soupçonner la présence d'une entité surnaturelle car, dans la maison, des craquements se manifestent, des objets semblent se déplacer tout seuls et des appareils électriques cessent de fonctionner sans raisons. Toute cette activité paraît être concentrée autour de l'enfant.
 
Le père du garçon, Tom Johnson – qui vient d'être licencié – et sa femme Julie, incriminent des phénomènes paranormaux. Julie affirme même avoir vu le « fantôme d'un moine glissant sans bruit le long de l'escalier ». En juin 1983, les époux Johnson sont au bord de l'hystérie quand ils sont mis en rapport avec Andrew Green. Avant de se rendre au domicile des Johnson, à Gravesend, dans le Kent, ce dernier compulse sa documentation sur l'endroit. Il ne découvre aucun lien historique entre l'emplacement du pavillon et une quelconque communauté religieuse. L'affaire moine-fantôme lui paraît peu plausible. Il pense plutôt que Julie Johnson a été abusée par son imagination, stimulée par des phénomènes inexplicables. Selon Green, l'ensemble des signes décrits – sons étranges, caprices des appareils ménagers, légers mouvements de petits objets, famille en état de stress – indiquent qu'il ne s'agit pas d'un phénomène de fantôme mais peut-être de « psychokinésie récurrente spontanée », généralement associée à un membre de la famille en état de déséquilibre mental.
 

Pouvoirs de l'esprit

 
Lorsque Green rencontre les Johnson, il devine tout de suite que le problème n'est pas uniquement d'ordre surnaturel mais implique le psychisme de leur jeune fils. Green pense que l'activité poltergeist a été déclenchée par un sentiment de mal-être du petit garçon, négligé par ses parents. Les Johnson vivent en effet dans un climat familial tendu ces derniers temps. Sur les conseils de Green, tous vont s'efforcer de rétablir des relations familiales normales. Effectivement, peu de temps après, l'activité poltergeist – moine-fantôme y compris – disparaît. D'après Green, ce cas illustre comment les pouvoirs de l'esprit peuvent déboucher sur une manifestation surnaturelle.
 
William Roll, un parapsychologue américain, rejoint en partie cette analyse. Il a constaté que « sur 92 affaires d'activité poltergeist centrée sur une personne, quatre des épicentres supposés étaient épileptiques ». Après l'étude des travaux de Roll, Green reconnaît que certaines affaires de poltergeist peuvent avoir un rapport avec l'épilepsie. Le sujet atteint de cette maladie, siégeant dans le lobe temporal, perd conscience pour une période variable – d'une minute à une demi-heure –, et certains pouvoirs de son esprit pourraient être libérés et produire des phénomènes psychokinétiques. Cependant, comme Roll l'a constaté, l'épilepsie n'intervient que dans un faible pourcentage de cas.
 

Poltergeist et schizophrénie

 
À la lumière de ces travaux, Green a mis en évidence la possibilité d'un lien avec un autre type de troubles psychiques : la schizophrénie. L'une de ses premières enquêtes, en 1956, concernait une jeune fille de 15 ans vivant à Battersea, un quartier du sud de Londres. Shirley Hitching pouvait produire à la demande des sons frappeurs longs et bruyants. Elle expliqua à Green et aux deux journalistes qui l'accompagnaient que les sons provenaient de Donald, son « polty » (poltergeist). « Quelques jours après avoir rencontré Shirley, j'ai eu la surprise de recevoir une lettre de quatre pages de son « polty », et plus tard une carte de Noël » se rappelle Green. « J'ai demandé à Shirley comment une entité invisible pouvait écrire une lettre, acheter un timbre au bureau de poste et déposer l'enveloppe dans une boîte aux lettres. Elle répondit calmement : "Il faudra que je pose la question à Donald". Mais je ne reçus cette fois aucune réponse. Trois psychologues spécialisés confirmèrent que la lettre avait été écrite par une personne atteinte de schizophrénie, ou pour le moins sujette à un grave désordre mental. »
 
Plus significative est une célèbre affaire qui survint également en Angleterre. L'enquête réalisée par le parapsychologue Maurice Grosse dans un pavillon d'Enfield fit d'ailleurs l'objet d'un livre écrit par un certain Guy Playfair. Voici un résumé de ce cas surprenant.
 
Pendant 14 mois, à partir de la fin août 1977, le domicile de Mme Peggy Hodgeson est la proie d'une activité poltergeist centrée autour de Janet, sa fille âgée de 11 ans. Le mobilier familial subit d'importants dégâts : plusieurs meubles sont déplacés violemment en différentes parties de la maison. Des graffitis apparaissent spontanément sur les murs, et l'on voit de l'eau sourdre ici et là...
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Peggy Hodgeson se baisse pour éviter un jouet (une petite brique) projeté par une force invisible. Il ne s'agit que d'un incident parmi les centaines qui se produisirent, devant témoins, dans sa maison d'Enfield, au nord de Londres.
 
Ces phénomènes sont la une de nombreux journaux du monde entier, et pour cause : ils peuvent en effet être observés par de nombreux témoins, y compris par la police, par des scientifiques et des enquêteurs spécialisés.
 
Après plus d'un an, les troubles d'Enfield s'arrêtent de façon aussi mystérieuse qu'ils avaient commencé. On ne sait toujours pas s'il s'agissait d'une véritable activité poltergeist ou de psychokinésie récurrente spontanée, produite inconsciemment par Janet Hodgeson à une période difficile de sa vie.
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Janet Hodgeson et Maurice Grosse

Poltergeist et glande pinéale

 
Gary Playfair, le biographe de cette affaire, va échafauder sa propre théorie sur la source de l'énergie poltergeist : la glande pinéale. Située au centre du cerveau, cette glande contrôle l'émission des hormones sexuelles. Selon Playfair, cette glande peut, au cours de la puberté, sécréter des « hormones générant une énergie créatrice. Lorsque l'enfant se sent doté de cette nouvelle force, il lui faut un exutoire. À défaut, cette énergie disponible pourra être captée par des « entités maraudeuses », qui se l'approprient pour leurs propres fins ». Plus schématiquement, Playfair compare cette énergie à une sorte de « football psychique ». « Arrivant sur les lieux deux ou trois esprits aperçoivent le « ballon » qui est là. Il font alors ce que ferait n'importe quel groupe de gamins : ils tapent dedans et s'amusent avec, brisant des vitres et provoquant une hilarante pagaille ! »
 

Création d'un poltergeist

 
b2ap3_thumbnail_psychokinsie.jpgLa thèse de Playfair sous-entend que les incidents poltergeist résultent de l'activité d'une entité intelligente, d'une forme d'esprit malin qui cherche à détruire ou à « posséder ». Pour Andrew Green, au contraire, les incidents poltergeist procèdent uniquement de l'inconscient : ils refléteraient les pouvoirs créateurs et de mise en scène auxquels le sujet fait appel pour gérer des émotions réprimées et des conflits émotionnels.
 
En 1972, à Toronto, au Canada, une fascinante série d'expériences est entreprise pour tenter de démontrer l'origine humaine des phénomènes de psychokinésie récurrente spontanée. Huit membres de la Société Canadienne pour la Recherche Psychique créent, avec leur énergie mentale, un personnage totalement imaginaire du XVIIè siècle qu'ils nomment Philip. Après plusieurs mois de séances hebdomadaires, « Philip commence à communiquer en frappant sur une table et en la faisant bouger ». Il est même capable d'en provoquer la lévitation devant les caméras de télévision !
 
Cette première affaire de psychokinésie récurrente spontanée induite marque un tournant en matière de recherche paranormale. Hélas, l'expérience ne sera jamais validée. Impossible en effet de prouver que les chercheurs ont réellement provoqué la psychokinésie, sans être à leur insu les jouets d'un poltergeist. Une « entité maraudeuse » intervenant dans une expérience visant à réfuter son existence, quelle ironie !
 

L'esprit d'assurance

 
D'autres tentatives scientifiques pour expliquer la cause de la psychokinésie récurrente spontanée restent vaines. Les tests effectués sur Janet Hodgeson, la jeune fille au centre de l'affaire d'Enfield, n'ont fait que souligner que ce sujet possédait des capacités extraordinaires en matière de perceptions extrasensorielles... sans pour autant parvenir à expliquer le phénomène.
 
Inexpliqué mais réel : en 1944, une compagnie d'assurances britannique, la Commercial Union, accepta en effet de verser 400 livres sterling en réparation de dégâts immobiliers constatés dans une HLM écossaise. La compagnie avait délégué deux enquêteurs chargés d'évaluer la réalité des phénomènes poltergeist supposés responsables des dégâts. Après deux semaines seulement, ils en avaient vu assez pour admettre le bien-fondé de la demande et préconiser un dédommagement de 50% du sinistre !
 
Si le concept d'entité surnaturelle n' pas troublé outre mesure le sens des affaires d'une compagnie d'assurances, les chercheurs spécialisés en matière de paranormal s'échinent toujours à prouver l'origine du phénomène poltergeist : serait-il issu d'une vie au-delà de la mort ou des fantastiques capacités de l'inconscient, en grande partie inexplorée ? La recherche continue pour élucider une question pleine d'esprit.
 
 

Témoin

Maurice Grosse
 
b2ap3_thumbnail_Maurice_Grosse-1919-2006.jpgChercheur ayant assisté à un grand nombre de phénomènes liés à la psychokinésie spontanée, Maurice Grosse a participé à l'enquête sur le poltergeist d'Enfield, en 1977.
 
« J'ai vu des billes projetées à travers la pièce s'arrêter tout net sur le plancher, sans rebondir... comme si une main invisible les avait posées là. Et quand on les touchait, les billes étaient chaudes. Puis de gros meubles commencèrent à se déplacer, jusqu'au jour où, sous nos yeux, un canapé se renversa complètement. De l'eau suinta sur le plancher de la cuisine, et dessina les contours d'un nain. Des pots de fleurs s'alignèrent au milieu de la pièce, et des graffitis apparurent sur les murs. Il y eut aussi des débuts d'incendies, des odeurs très fortes, et des endroits particulièrement froids dans la maison. Il s'agissait d'une activité typique de psychokinésie, mais l'ampleur de cette affaire a changé ma façon de voir la vie après la mort. »
 

Analyse

La petite hantise
 
Le mot hantise recouvre l'ensemble des manifestations psi qui se produisent dans un lieu déterminé. La grande hantise, avec apparition de fantômes, est rattachée à un endroit spécifique, parfois historique, et peut être récurrente.
 
b2ap3_thumbnail_commandant-emile-tizane.jpgLa petite hantise, limitée à des phénomènes physiques, est le plus souvent liée aux problèmes psychiques d'un adolescent en pleine puberté (un deuil, une mésentente familiale). Le poltergeist correspond à la petite hantise. La présence de l'adolescent catalyserait de façon inconsciente la production de ces manifestations avec de l'énergie prélevée dans l'environnement. Ce qui expliquerait la sensation de froid ressentie par les témoins – alors que les objets déplacés, eux, seraient chauds – comme les perturbations magnétiques, électriques ou électroniques constatées.
 
C'est l'officier de gendarmerie français Emile Tizané qui, le premier, attira l'attention des chercheurs sur la fréquente présence d'un adolescent ou d'une adolescente en difficulté dans les cas de poltergeist.
 
Sur la base de centaines de témoignages recueillis en un-demi siècle, il a conclu que « dans le poltergeist, la force inconnue est indépendante su sujet. C'est en quoi le poltergeist est différent des lévitations et des craquements provoqués par les médiums. »
 

Argument

Appels fantômes
 
Peu de victimes de poltetgeists sont conscientes que ces manifestations sont peut-être de leur fait.
 
L'épicentre de l'affaire Rosenheim, qui se déroula en Bavière, de 1967 à 1968, était la jeune Annemarie Schaberl, âgée de 18 ans. Peu de temps après son entrée comme secrétaire dans le cabinet de l'avocat Sigmund Adam, les premiers phénomènes apparurent. Sur le passage d'Annemarie, les fils électriques des plafonniers se balançaient et les ampoules avaient tendance à exploser, les débris de verre se dirigeant alors toujours vers elle. Autres problèmes : le dysfonctionnement du téléphone, qui enregistrait un nombre incroyable d'appels alors que personne ne l'utilisait, un tableau se déplaçant tout seul et une armoire de 175 kg, située près d'Annemarie, qui s'écarta spontanément du mur à deux reprises.
 
Quand la jeune fille quitta le cabinet, qui avait subi des dégâts considérables, tout redevint normal.
 

Complément d'enquête

Des cas récents en France et en Belgique
 
Parmi les derniers cas relevés en France, il faut citer la bombardement par des pierres de la clinique d'Arcachon, en 1963, affaire sur laquelle le professeur Tocquet, de l'Institut Métapsychique International, a réalisé une très sérieuse enquête.
 
Au début des années 80, les habitants d'une maison normande, près de Lisieux, aperçurent des pommes venues du grenier qui « atterrissaient » dans la salle de séjour après avoir « traversé » la porte.
 
Citons également le cas de la maison « qui saigne » à St-Quentin (Aisne), en 1986, et celui de la maison « qui n'oublie pas » à Montbazon (Indre-et-Loire), où les phénomènes de poltergeists ont duré de 1987 à 1989.
 
En Belgique, le plus célèbre cas est celui vécu par les époux Dubart, habitant Arc-Wattripont. Le 5 janvier 1993, vers 20h, des phénomènes bizarres se déclenchent dès l'arrivée dans la maison d'Eric Barbe, le petit ami de leur fille : le lourd buffet se déplace, une desserte s'agite, des objets s'envolent et semblent converger vers Eric. Venu sur place, un ecclésiastique anglican, Monseigneur Meurant, décide d'exorciser le sujet « infesté » ainsi que la maison. Les phénomènes disparurent après cet exorcisme... et l'éloignement du galant.

Article paru dans la magazine Facteur X n°7, 1997b2ap3_thumbnail_facteur-x.jpg

Voir aussi Andrew Green, le véritable ghostbuster

 

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